Le sommet des chefs d'Etat de l'Eurogroupe du 12 octobre 2008 a mis fin à une semaine noire sur les places boursières. Le rebond a été spectaculaire. Cela ne veut pas dire que la crise est finie.

Bilan du sommet anticrise de Londres : des sparadraps pour l'immédiat, mais pas de remise en question d'un modèle économique agonisant

Réunis les 24 et 25 septembre 2009 à Pittsburgh, les chefs d'Etat et de gouvernement des 20 plus grandes puissances de la planète vont tenter, sous la pression des Européens, de franchir une étape supplémentaire dans la régulation de l'économie mondiale. Mais, au-delà des nouvelles règles réclamées par la communauté internationale, c'est à une refonte du système que le choc des deux années écoulées nous invite.

Tous les jours, ce mot revient : ″la crise″. L'économie mondiale semble, en effet, incontrôlable et les pays européens sont dans la tourmente. Que se passe-t-il ? La France est-elle concernée ? Alors que le G20 (groupe des pays les plus puissants) se réunit les 3 et 4 novembre 2011, le ″Monde des ados″ t'explique comment on en est arrivés là.

Très à l'aise sur le continent américain, la ministre vient de présider le G 20 Finances. Elle sera probablement élue députée des français résidant aux Etats-Unis. Mais son nom circule aussi pour des fonctions internationales prestigieuses. Le FMI, par exemple.

Il nous parle avec le ton posé du vieux sage universitaire, mais les analyses de Joseph E. Stiglitz sur notre système économico-politique ne sont pas éloignées de celles d'un Mélenchon. Sa parole critique est d'autant plus précieuse qu'elle est américaine et nobélisée.

Nicolas Sarkozy ne cesse de le répéter : "Les Français veulent travailler plus pour gagner plus". Le président se trompe peut-être d'époque. Ailleurs, en Suède, en Nouvelle-Zélande, au Royaume-Uni, nombreux sont ceux qui ont pris un chemin tout autre.

A quelques semaines du sommet du G20, les gouvernements participants sont loin d'être d'accord sur la stratégie à mettre en oeuvre pour juguler la crise

Obama veut rallumer la lumière. Sarkozy et Merkel sont médusés par Brown. Et les banques tremblent encore

Entretien quelque peu décapant avec une figure représentative de la deuxième gauche, - celle du parler-vrai et du réalisme -, portée par Michel Rocard.

Un point de vue dissident et radical sur le rôle néfaste des banques dans la crise

Patron pendant quinze ans des députés PS à l'Assemblée nationale, le "premier ministrable" Jean-Marc Ayrault explique les ressorts de la nouvelle politique budgétaire et fiscale qu'il appelle de ses voeux et décrit les premières mesures que pourrait prendre une future majorité parlementaire aux couleurs de François Hollande.