Tous les samedis soir sur Canal+, Moustic et son équipe de Grolandais atomisent la campagne électorale dans un joyeux et salutaire bordel qui frappe là où ça fait mal : en plein dans le mille.

L'Europe est la grande absente de la présidentielle, déplorent Jacques Delors, Michel Rocard et Bernard Kouchner. La replacer dans la campagne permettrait pourtant à la gauche de régler son trouble identitaire national et politique.

Machines à rumeur en même temps que nouveaux espaces de parole, ils font parfois s'emballer la campagne. Mais pas de manière aussi révolutionnaire qu'annoncé.

On disait les électeurs indécis. Ils se sont révélés très mobilisés. Prêts à en découdre au deuxième tour.

Le premier tour de la présidentielle a passionné les Français. Un éclairage par la politologue Nonna Mayer permet de mieux comprendre les enjeux du second tour.

Plus qu'un affrontement gauche/droite, le deuxième tour de l'élection présidentielle sera un choix entre deux visions du monde radicalement opposées : la bonne et la mauvaise, comme dirait Nicolas Sarkozy.

Vingt ans d'individualisme triomphant et d'anti-intellectualisme arrogant. Et aujourd'hui, on en est là : Nicolas Sarkozy se hisse à l'Elysée.

La victoire de Nicolas Sarkozy a un goût amer mais elle ne décourage pas ses opposants, qui multiplient les appels à la vigilance face aux menaces que font peser ses promesses.

Pdg et directeur de la rédaction de "Libération". Il revient sur la défaite de Royal, la victoire de Sarkozy, le yacht à Malte et sur "Libération" comme lieu de débat pour la reconstruction idéologique de la gauche.

Quatre ans après l'élection de son champion, où en est la bande du Fouquet's ?

Tout l'été, ℗ L'Express ® a revisité les victoires élyséennes avec l'un de ses acteurs clefs. Dernier volet : Franck Louvrier, conseiller en communication de Nicolas Sarkozy, décrypte les ressorts de la première campagne du président. Avant celle de 2012...

L'agenda de la milliardaire mentionne un rendez-vous entre son mari, André, et Nicolas Sarkozy, deux mois avant la présidentielle de 2007. L'Elysée conteste l'existence de la rencontre.