Ses prises de position exaspèrent les pontes du PS, mais ravissent les sympathisants de gauche. Ce qui la place, pour l'instant en chef de l'opposition.

L'une est raison. L'autre est passion : tout oppose Martine Aubry et Ségolène Royal, sauf l'ambition de prendre Solferino. Histoire d'une rivalité

Elle joue sa propre partition, ses lieutenants aussi...

Elles se détestent depuis si longtemps que tout partage du pouvoir est impossible. Récit d'une haine réciproque

Ségolène Royal n'aime pas les questions d'argent mais apprécie les largesses de Pierre Bergé

Certains l'adulent, d'autres la détestent. Même au PS ? Surtout au PS ! Du coup, c'est le parti tout entier qui semble guetté par la paralysie.

Revigorée par le vote du 6 novembre 2008, Ségolène Royal revient en force dans le parti. Mais convaincre les militants et prendre l'appareil sont deux choses différentes. Le pire est-il sûr pour un PS éclaté et sans leader incontesté ?

Alors que plusieurs élus proches de Ségolène Royal prennent leurs distances, le producteur Dominique Besnehard continue de croire en son étoile. S'il n'en reste qu'un...

En communicant - et en débattant - avec les citoyens via son site Internet, la probable candidate socialiste à la présidentielle de mai 2007 bouleverse les règles du jeu politique. Et accentue son avance sur les "éléphants" du parti.

Candidature personnalisée, programme pragmatique, recours à des techniques de communication de masse... Le style des deux principaux prétendants à l'Elysée tranche avec celui de leurs prédécesseurs.