L'entrée en vigueur du RGPD, Règlement général sur la Protection des Données, le 25 mai 2018, a été très attendue par les DPO, Data protection officer, des entreprises. Ils s'étaient mobilisés durant les mois précédant l'échéance pour être en règle avec les nouvelles normes. Leur travail mène sur la sensibilisation des salariés, la vérification de leurs pratiques et la gestion des risques liés à la récolte de données personnelles. Bien souvent, ces postes ont été créés pour l'occasion.

Les autrices analysent les effets salariaux à court et moyen terme de la surqualification et la sous-qualification, à partir de données appariées employeur-salarié relatives à la période 1998-2012 et d'un nouvel outil de mesure de l'inadéquation, reposant sur le flux de nouvelles recrues. [...]

Dans cette analyse sur l'évolution de l'écart salarial entre hommes et femmes, l'autrice évalue le rôle de la variation du rendement salarial des compétences "cérébrales" (cognitives et interpersonnelles) et "physique" (compétences motrices et force musculaire). [....]

Au coeur du débat de la réforme des retraites, les plus de 50 ans séduisent les employeurs grâce à leur expérience et leur savoir-faire.

Les compétences des e-archivistes évoluent, en France, en même temps que leurs missions. Ces professionnels doivent concilier le format papier et le format numérique, et donc avoir des compétences particulières associées au numérique. Mais nombre d'e-archivistes pointent du doigt un manque de formation. Les personnes en poste peuvent toutefois compter sur les formations continues. Elles doivent également exercer une veille permanente de leur environnement professionnel. Les e-archivistes constatent enfin que leurs postes sont montés en catégorie dans la fonction publique.

L'intelligence artificielle et le big data pourraient être présents dans 75 % des entreprises d'ici 2020 d'après "The Economist". Il va donc devenir indispensable de maîtriser ces amas de données et de recruter des data scientists, ou du moins d'en posséder les compétences. En effet, les professionnels de la data restent encore rares, et moins de la moitié des postes n'avaient pas trouvé preneur en France en 2015. Afin de ne pas rater le train du big data, plusieurs solutions existent toutefois pour rester à hauteur.

Vendeurs, caissiers, serveurs, livreurs… autant de professions parmi les plus répandues aux États-Unis. Faiblement rémunérées, pour l’essentiel répétitives, elles offrent peu de perspectives. Ces métiers appartiennent à la catégorie des « emplois non qualifiés » (unskilled labor), une formule souvent trompeuse.