Le président chinois a, pour la première fois, décrit le rôle de son pays sur la scène internationale. Une stratégie qui confirme le statut de grande puissance que Pékin entend désormais assumer.

Un site d'exilés iraniens envisage les conséquences économiques de l'entêtement du gouvernement d'Ahmadinejad à poursuivre son programme nucléaire.

Le 28 novembre 2010 restera une date historique, prévient le quotidien italien ″La Repubblica″. Ce jour-là en effet, cinq journaux commençaient à divulguer quelques-uns des 250 000 documents recueillis par WikiLeaks, le site créé en décembre 2006 par Julian Assange. Des révélations qui vont changer les relations internationales et sans doute le travail des médias.

Si la communauté internationale reste plus longtemps les bras croisés face au drame ivoirien, elle va se retrouver sur la sellette.

Non-ingérance ou soutien à la démocratie ? La révolution tunisienne a montré les difficultés de la France à redéfinir ses liens avec ses anciennes colonies.

Au moment où l'Otan renforce ses pressions tout en appelant à la médiation, l'opposition à Kadhafi s'organise et cherche à consolider sa crédibilité.

Le philosophe a beaucoup pesé pour que Paris s'engage contre Kadhafi. De grands principes et un opportunisme teinté d'amateurisme qui pourrait faire des dégâts.

La France accueille à Cannes les 3 et 4 novembre 2011 le sommet des dirigeants du G20 sur fond de crise. La Chine est appelée à la rescousse pour sauver le Vieux Continent. La montée du chômage et le creusement des inégalités alimentent les mouvements de protestation. Montrés du doigt, les 1% les plus riches ont aussi leurs problèmes.

Sabotages et assassinats font le quotidien du conflit larvé entre l'Iran d'un côté, les Etats-Unis et Israël de l'autre. Mais ce nouvel équilibre de la terreur menace de s'effondrer.

Face au soutien logistique accordé par Moscou au régime, la rébellion a besoin de renforts. Mais Washington hésite toujours, regrette un quotidien libanais.

Les dirigeants de l'Etat hébreu, qui bénéficient depuis des décennies des vetos américains à l'ONU, trouvent scandaleux le soutien de Moscou à Damas.

Quinze mois après le début de l'insurrection, la situation en Syrie paraît bloquée. La communauté internationale peine à dégager un consensus, il n'y a pas d'intervention occidentale en vue, et l'opposition syrienne se déchire. Une seule certitude : ce régime qui fait couler le sang ne tient plus le pays. Et Bachar El-Assad doit partir.