Nous anticipons souvent le pire, une tendance aggravée dans des pathologies comme la dépression. Un nouveau type de thérapie s’attaque justement à démonter ces prédictions négatives, et montre comment, a contrario, l’espoir peut guérir.

Il faut être en accord avec ses principes! On l'affirme comme une règle évidente à l'heure où de nombreux défis climatiques imposent de changer nos habitudes de vie... Mais est-ce si facile ? Peut-on vraiment parvenir à cette harmonie avec soi et avec le monde ? À quelles conditions ? Sommaire. Les trois rounds du duel intérieur. "On explique se trajectoire de vie en créant un personnage". La vie contre soi. Le jour le plus bon. Harmut Rosa : "La résonnance consiste à accepter d'être dérangé dans ses habitudes".

Difficile de concevoir l'absence d'une telle fonction du cerveau. Pourtant l'aphantasie existe bel et bien : elle désigne l'incapacité à se former des images dans la tête, bien que les yeux voient. Les neurologues commencent à s'en faire une idée.

Forte du brassage massif de données, l'IA pourrait retrouver des pensées à partir d'images cérébrales. Elle capte déjà le sens général d'une phrase entendue...

"Harry Potter", "Game of Thrones", "The Legend of Zelda"… Depuis quelques années, les mondes imaginaires connaissent un succès sans précédent. Comment expliquer cette fascination ? Une approche interdisciplinaire, mêlant les sciences cognitives, la psychologie, l’anthropologie ou encore la biologie, éclaire les mécanismes de curiosité et les préférences exploratoires derrière ce phénomène culturel. Les mondes fictifs que nous créons et consommons seraient ainsi des manifestations directes de notre cognition ouvrant des fenêtres sur la manière dont les humains sont câblés.