La Royal Astronomical Society, en Grande-Bretagne, s'est intéressée à l'impact réel de l'astronomie sur la société. Son enquête, une première sur le sujet, est riche d'enseignements.

En choisissant de consacrer sa vie à répondre à la question du "comment", l'astrophysicien Bruno Guiderdoni, spécialiste des galaxies lointaines, n'a pas voulu renoncer à la question du "pourquoi"... Un dialogue entre la science et la religion dont l'enjeu est l'unité de la connaissance, mais aussi, et surtout, l'avenir de l'humanité.

Si vous feuilletez actuellement cette revue, il y a de fortes chances que vous aimiez déjà (un peu, beaucoup... pas du tout ?) les sciences, certaines sciences, ou juste l'une d'entre elles. Mais... qu'entendons nous par sciences, exactement ?

Les Celtes nous cachent-ils leurs savoirs secrets des astres ? Jules César nous le dit à propos des druides dans la ″Guerre des Gaules″ : ils discutent abondamment sur les astres et leur mouvement, sur la grandeur du monde et de la Terre, sur la nature des choses. Plusieurs découvertes archéologiques confirment leurs connaissances fines de la grande machine céleste. Tentons de cerner leurs représentations astronomiques, enrichies au cours du temps au contact des autres civilisations.

A mesure que progresse la science, l'humanité déconstruit ses représentations d'hier pour en élaborer d'autres, plus en harmonie avec l'état de ses connaissances. A chaque étape, un seul domaine résiste au progrès des idées - et accumule de ce fait un retard considérable : celui de l'économie, où les questions théoriques cèdent le pas aux enjeux de pouvoir. Notre époque ne fait pas exception.

Déambulant d'un pavillon à l'autre, cinquante millions de visiteurs ont parcouru les allées de l'Exposition universelle qui, en 1900, prétendait dresser le bilan d'un siècle.

Le point, en juillet 2011, sur le développement des expérimentations, en Chine, en matière d'agriculture génétiquement modifié, sans restrictions. Un pays où la recherche avance à grands pas (comblant 20 années de retard) mais où les règles sont beaucoup plus souples qu'en Europe sans activistes, principes de précautions et informations aux consommateurs. Un contexte qui entraîne ainsi certaines multinationales internationales des biotechnologies à s'implanter en Chine pour y nouer des partenariats.

Oui, il faut préserver la planète (quoi que, disent certains), oui, il faut cesser de surconsommer. Mais arrêtez de nous culpabiliser ! Un ras-le-bol écologique pointe chez des citoyens qui se sentent atteints dans leurs libertés.