Dans les rues de Téhéran, la foule fêtait surtout le départ du président Ahmadinejad, qui a appauvri les Iraniens et mis le pays au ban des nations.

La défaite électorale des ayatollahs opposés à la normalisation des relations entre la République islamique et l'Occident ouvrira-t-elle une brèche dans la forteresse théocratique ?

Les forces modérées sont les grandes gagnantes des élections législatives du 26 février 2016, pour lesquelles les Iraniens se sont déplacés en masse.