La libération de la parole qui caractérise le mouvement #metoo trouve des échos dans tous les domaines. Y compris les plus inattendus ! L’histoire suivante s’est déroulée au sein de l’équipe olympique grecque de voile.

Depuis quelques années, les instances sportives veulent faire de l’hormone mâle le juge suprême de la discrimination entre les sexes. Problème : cela ne marche pas !

Aujourd’hui âgée de 83 ans, cette Texane a eu une carrière d’une longévité exceptionnelle. Elle a marqué le monde du rodéo par sa soif de victoires, son style glamour et son sens des affaires – ainsi que quelques chutes spectaculaires. La journaliste Laura Beil, dont l’enfance au Texas a été nourrie du récit de ses exploits, brosse son portrait.

La rupture des ligaments croisés est une blessure à la fois banale et relativement grave. Certes, elle ne met pas la vie en danger. Mais elle suffit à contrarier la poursuite d'une carrière sportive. Parfois même, elle force à l'arrêter prématurément. Les femmes sont particulièrement concernées.

Seules ou en groupe, les femmes sont de plus en plus nombreuses à arpenter les sentiers de randonnés. Sur les traces de sorcières, de pionnières tombées dans l'oubli ou simplement avec l'envie de se ressourcer au plus près de la nature. L'engouement pour ces marches féministes se traduit par la multiplication d'agences spécialisées et un intérêt nouveau pour les récits de femmes. Autant de moyens de célébrer une quête d'émancipation longtemps marginalisée.

Trois médecins ont décidé de créer, en début d'année 2017, un centre d'expertise sport santé au féminin au sein du Centre hospitalier des Pays de Morlaix, en Bretagne. Un lieu qui se veut novateur dans la prise en charge des pathologies des sportives, en particulier gynécologiques. "Causette" est allée voir ce qu'il s'y tramait.

Championne de squash, Maria Toorpakai Wazir est devenue, dans cette République islamique, le symbole du combat des femmes.

Alors que les témoignages de harcèlement sexuel se multiplient, les sportives restent étonnamment silencieuses. Pour la ministre des Sports, cela prouve simplement que les outils de prévention existants fonctionnent.