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Stiegler, Barbara

Article

Auteurs
Alors que des grèves éclatent, ici et la, dans les hôpitaux, dans les transports et dans les écoles, un écrivain et une philosophe se penchent sur le sujet. Signe qu’en 2020, face a un néolibéralisme déboussole, faire grève ne suffit plus : il est devenu nécessaire de la raconter et de la repenser.
Numéros de page :
pp.68-69

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Bulletin : Études 4296
Alors qu’aucun bilan n’a été encore sollicité afin de ressaisir ce que nous avons appris de cette crise sanitaire à rebonds, la philosophe Barbara Stiegler en appelle à un réveil démocratique. Il est temps de sortir de la sidération, de réapprendre à nous parler, pour dépasser les logiques binaires qui fracturent la société, et de procéder à un examen collectif critique indispensable de cette gestion de la crise et de ses conséquences sur la vie démocratique.
Numéros de page :
pp.33-45

Article

Bulletin : Le Point
Evoluer, muter... C'est à la biologie que le "néolibéralisme" emprunte son vocabulaire, explique la philosophe. Dans "Il faut s'adapter" (Gallimard), elle établit la généalogie d'un impératif qui régit les démocraties libérales, où l'homme semble toujours en retard sur la mondialisation. Illustration avec les gilets jaunes.
Numéros de page :
pp.114-115

Article

Auteurs
Pour la philosophe Barbara Stiegler, le diktat du changement permanent provient d'un immense contresens, qui a abouti à la "rééducation" de la société en vue de l'adaptation aux exigences de la révolution industrielle.
Numéros de page :
pp.54-55

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Professeure de philosophie, spécialiste de Nietzsche, autrice, Barbara Stiegler s'empare des questions politiques en les reliant au vivant. Face au naufrage du néolibéralisme et aux crises qu'il engendre, cette passionnée de sciences nous invite à remettre de l'esprit critique et de la politique « dans tous les champs de notre vie » pour sortir de la « fabrique du consentement » et s'ouvrir à « l'imprédictible ». Rencontre.
Numéros de page :
pp.6-9

Article

Auteurs
Peu connu de notre côté de l’Atlantique, l’Américain John Dewey est pourtant l’un des penseurs les plus influents de notre époque, explique la philosophe Barbara Stiegler. Il est en effet l’un des premiers théoriciens de la démocratie participative et de l’expérience sociale. Un appel à ne pas rester passif en politique.
Numéros de page :
pp.74-79

Article

Auteurs
Pour la philosophe, le discours biologisant, né sous l’influence du journaliste américain Walter Lippmann, a contaminé depuis des décennies le champ politique. Et le citoyen est sommé de « s’adapter ».
Numéros de page :
pp.18-19

Article

Auteurs
Date parution pério
2023-07-20
On n'a pas fini de chercher les origines de l'embrasement qui ont suivi la mort de Nahel. Divorce entre forces de l'ordre et une partie de la population, intégration, immigration... Pour aborder ces sujets brûlants, "Marianne" a posé les mêmes questions à Alain Bauer, professeur de criminologie au Conservatoire national des arts et métiers, et à Barbara Stiegler, professeurs de philosophie politique à l'université Bordeaux-Montaigne, proche de La France insoumise.
Numéros de page :
pp.20-21

Article

Auteurs
Date parution pério
2023-03-23
Après le déni démocratique du 49.3, la colère embrase la mobilisation contre la réforme des retraites, des rassemblements spontanés débordant l’intersyndicale surgissent sur tout le territoire et sont violemment réprimés. La philosophe Barbara Stiegler analyse la nouvelle mutation du néolibéralisme incarnée par la Macronie, phobique du peuple et de sa capacité à s’assembler. Alors que la crise politique et sociale en cours risque de disloquer Les Républicains, sera-t-elle pour la Nupes une occasion de convertir la colère en adhésion ? Sommaire. Barbara Stiegler : "Macron, joueur de casino".
Numéros de page :
pp.12-17

Article

Auteurs
Bulletin : L'Obs 2970
Date parution pério
2021-09-23
Pour certains, s'opposer à ce laissez-passer numérique menace le bien commun. Mais pour d'autres, il faut continuer à s'interroger sur son usage dans l'espace public. En conclusion de son article, "L'Obs" ouvre ses colonnes à la philosophe Barbara Stiegler qui déclare "On alimente la défiance".
Numéros de page :
pp.68-71