Bret Easton Ellis signe un nouveau roman dépressif, mais l'air absent : ″Suite(s) impériale(s)″, fiction étique et pataude, prolonge pour rien ses premières amours.

Avec ″Suite (s) impériale (s)″, Bret Easton Ellis offre la suite de ″Moins que zéro″, son premier roman. Une plongée dans un Hollywood décadent et une vision nihiliste du monde.

Bret Easton Ellis vient de faire paraître ″Suite(s) impériale(s)″, la suite de ″Moins que zéro″, où il dissèque les vices de Hollywood. Dans une interview inédite avec Transfuge, l'enfant terrible des lettres américaines s'entretiens sur le monde d'aujourd'hui, la littérature qu'il aime et qu'il déteste, et, bien sûr, il revient sur lui-même.

Vingt-cinq ans après Moins que zéro, le livre-culte qui scandalisa l'Amérique, le romancier de la coke et de l'ultraviolence publie la suite. Il ne s'est pas assagi.