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Talibans

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Auteurs
Après le départ des Américains, les talibans espèrent reprendre le contrôle de l'Afghanistan.
Numéros de page :
pp.58-59

Article

En 2001, l’offensive éclair de la coalition internationale et de l’Alliance du Nord déclenchée en réaction aux attentats du 11-Septembre avait réussi à chasser les mollahs de Kaboul. Mais vingt ans et près de 170 000 morts plus tard, les voilà de nouveau maîtres de la capitale. Dans ce numéro du "1", nous essayons de comprendre les racines de cet échec, d’analyser les erreurs de stratégie d’une guerre qui a mené le pays dans l’impasse, sans vaincre pour autant le terrorisme islamiste.
Numéros de page :
pp.1-10

Article

Auteurs
Bulletin : Marianne 1275
Après l'émoi qu'a suscité la prise de Kaboul par les fondamentalistes vient le temps des interrogations. Influence des Qccidentaux, flux migratoires, risques terroristes... Eléments de réponse.
Numéros de page :
pp.16-20

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Auteurs
Bulletin : Politis, 1670
Après le fiasco du départ, les Occidentaux doivent dépasser l’humiliation pour obtenir des avancées de la part du nouvel Etat tant qu’il est fragile, analyse Gilles Dorronsoro.
Numéros de page :
pp.20-22

Article

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120 Afghans ont pu être évacués en août 2021 grâce à l'ONG Singa après la prise de la capitale afghane par les talibans. L’association, que Benoît Hamon vient de rejoindre, porte secours aux réfugiés en favorisant leur insertion : ces dernières semaines, elle a veillé à ce que les nouveaux venus soient entourés par les anciens.
Numéros de page :
pp.52-55

Article

Auteurs
Depuis la chute de Kaboul aux mains des talibans le 15 août 2021, les Afghans Atiq Rahimi et Siddiq Barmak et l'Iranien Mohsen Makhmalbaf, eux-mêmes exilés en France et en Angleterre, frappent à toutes les portes pour exfiltrer d'Afghanistan artistes ou intellectuels désormais en danger. Une "cellule de crise" qui est déjà parvenue à évacuer près de 270 personnes.
Numéros de page :
pp.21-22

Article

Auteurs
Bulletin : Marianne 1282
La majorité des Kabouliotes est loin d'embrasser les idéaux des nouveaux maîtres du pays. Dans les campagnes, en revanche, les habitants sont plus partagés : certains ont pris le parti des talibans depuis bien longtemps. Le village d'Arghandi, dans le district de Paghman, à une trentaine de kilomètres de Kaboul, illustre ce schisme entre ville et campagne.
Numéros de page :
pp.38-41

Article

Auteurs
Bulletin : Marianne 1290
Trois mois et demi après la prise de Kaboul, les nouveaux maîtres de l'Afghanistan peinent à gouverner le pays. Crise sanitaire, financière, économique, mais aussi de confiance, l'émirat est déjà proche de l'effondrement. Et les femmes sont les premières à payer l'addition.
Numéros de page :
pp.38-40

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Auteurs
Bulletin : Politis, 1695
Si des centaines d’Afghans ayant des liens forts avec notre pays ont pu être évacués au moment de la reconquête du pouvoir par les talibans à la fin du mois d’août 2021, plusieurs d’entre eux ont été abandonnés à leur sort. Ils réclament une aide de Paris. En vain jusqu’à présent.
Numéros de page :
pp.18-20

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Bulletin : Esprit 478
Après l’échec des Américains, les talibans peuvent construire un Etat stable en Afghanistan parce qu’ils sont capables de lutter contre la corruption et de négocier avec les pouvoirs locaux. Mais cela suppose qu’il n’y ait pas de nouvelle ingérence étrangère et cela se fera au détriment des femmes.
Numéros de page :
pp.105-113

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Bulletin : Esprit 479
Pour de multiples raisons, allant du manque d’étude de terrain à l’orientalisme inconscient des observateurs ou à la propagande de leurs ennemis, les talibans sont souvent mal compris, et cette méconnaissance a été l’une des causes majeures de l’échec occidental en Afghanistan. Or ce mouvement, qui représente par certains aspects l’une des variantes les plus originales de l’islam politique, mérite qu’on s’y intéresse, ne serait-ce que parce qu’il restera probablement au pouvoir pour les décennies à venir.
Numéros de page :
pp.20-23

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Bulletin : Esprit 479
Le 15 août 2021, les talibans sont entrés dans Kaboul, vingt ans après qu’une coalition internationale dirigée par les Etats-Unis les en avait chassés en 2001. On peut alors se demander ce qu’il va en être de ceux qui cherchent à quitter le pays, après le rapatriement des nationaux européens et américains, puisque le conflit est désormais, en principe, terminé.
Numéros de page :
pp.23-27