Titres recensés : 68e festival de Cannes, les promesses de la fiction ; "Valley of Love" de Guillaume Nicloux ; "Le Prince de Hombourg" de Marco Bellocchio ; "Le Convoi de la peur" de William Friedkin ; "Mustang" de Deniz Gamze Ergüven ; "Victoria" de Sebastian Schipper ; "Hill of Freedom" de Hong Sangsoo ; "Les Mille et une Nuits" de Miguel Gomes ; "Mad Max : Fury Road" de George Miller ; "Jurassic World" de Colin Trevorrow .

Ses débuts d'animatrice télé dans un "Club Dorothée" belge, son irruption dans "Nouvelle Star", ses premiers succès dans des comédies romantiques, puis le coup d'éclat de "Victoria", comédie foudroyante de Justine Triet : la méthodique ascension de Virginie Efira.

Irrésistiblement drôle, et en même temps profond, olympien, hyper contemporain. Le gros coup de coeur de la rentrée, avec une Virginie Etira à tomber.

Récit d'un braquage qui tourne mal, réalisé en un plan-séquence inouï, « Victoria » est un tour de force incroyable. Son réalisateur, Sebastian Schipper, délivre ses conseils à ceux qui seraient tentés par l'expérience.

Film de la maturité, accueilli en fanfare à Cannes, "Victoria" rassemble public et critique autour du cas Virginie Efira. Toute en rondeurs et en subtilité, la star belge confirme qu'elle est à la fois un passionnant corps de cinéma et une actrice de premier plan.

Rencontre avec Justine Triet, une des nouvelles figures incontournables du cinéma français. Allez voir en urgence "Victoria" ! En complément de l'article, "L'oeil du singe", une critique du film rédigée par François Bégaudeau.

2016 aura vu des jeunes auteurs mais aussi des cinéastes confirmés revivifier le genre le plus plombé du cinéma français : la comédie.

Un bon plan.

Knut Hamsun occupe une place tout à fait singulière dans l'histoire de la littérature internationale. Et il n'est pas simple d'en faire le tour, tant sont sinueux les chemins qui y mènent ; c'est à deux hommes, en effet, que nous allons devoir consacrer notre attention, deux hommes en un, bien entendu.

C'est un pari totalement dingue ! Un film en un seul plan séquence vertigineux de 2h 14. Le cinéaste commente deux moments clés de ce polar électrochoc.