Voilà, c'est par ici que ça pique. Séance de stakhanovisme rock'n'roll avec les quarante ans de la sortie du mythique "No Sleep'till Hammersmith".

15 mai 1981. "East Side Story" est dans les bacs. Les critiques sont unanimes : c'est un chef-d'oeuvre.

Voilà déjà dix ans que les Londonniens sévissent. Pour célébrer cet anniversaire, ils publient "Back In Love City", nouveau disque aussi surprenant qu'inspiré.

Aujourd'hui célébré comme un chef-d'oeuvre, "Forever Changes" s'est ramassé en 1967. Et a provoqué la disgrâce de Love et de son leader, Arthur Lee, mort il y a quinze ans. Récit d'une débâcle sans fond.

La country, musique de pécores ? Certainement pas. Le genre, encore méprisé dans l'Hexagone, est à réapprécier de toute urgence.

Apparus sur les cendres du punk rock, les hommes en noir ont été les oubliés du grand soir punk. Jamais sur le podium, ni à un paradoxe près, ils resurgissent aujourd'hui avec "Dark Matters", nouvel album enregistré avant que leur génial claviériste tire sa révérence.

La sortie d'un coffret couvrant son âge d'or, de 1971 à 1974, est le prétexte de lever le voile sur le mythe. Rencontre avec Jean-Hervé Peron.

La no wave new-yorkaise a eu son oeil subjectif branché sur Nikon F801 poussé jusqu'à 6400 ASA, en noir et blanc, sans flash mais chargé d'électricité. La photographe Suisse est justement mise à l'honneur à Paris en ce moment.

Ils auraient pu être le plus grand groupe du monde, ont publié l'un des plus beaux album du rock, et peut-être la plus belle chanson jamais écrite depuis les Beatles. Le destin en décidera autrement. Les Liverpuldiens laisseront cependant quatre chef-d'oeuvre intemporels que Warner a l'heur de rééditer...

"If I Could Only Remember My Name", le premier album du tempétueux moustachu à la voix d'ange, célèbre cinquante ans de vibrations cosmiques. Retour sur une oeuvre hallucinée et mal comprise auquel le temps a fini par rendre justice.

Il y a cinquante ans et un mois disparaissait l'un des champions du rockabilly originel. Ses enregistrements restent magiques, mais sa vie fut une tragédie.

Après avoir chanté les hits, épaulé par son nouveau groupe au nom approprié, Jon Spencer revient avec "Spencer Gets It Light". Une rafale de morceaux parcourus de ce mélange d'énergie maniaque et d'étrangeté propre au New-Yorkais.