Wideman, John Edgar (1941-....)
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Bulletin : Le Nouvel observateur 01561 - octobre 1994
La littérature sauve ceux qui croient vraiment en elle. John Edgar Wideman est de ceux-là, qui, avec Toni Morrison s'est affirmé comme une des voix majeures issues de la communauté afro-américaine. Avec "Reuben" le public français va enfin découvrir son univers romanesque, d'une rare puissance.
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Bulletin : <>Quinzaine littéraire 888 - novembre 2004
Dans la lettre dédicace qu'il adresse à Robby, son jeune frère condamné à la prison à vie, avec qui les soirs de Noël il tentait de rester éveillé pour "savoir, voir si les rennes c'est vrai que ça vole", John Edgar Wideman compare les histoires qui composent "Damballah" aux pastèques de leur enfance, et reprend l'expression qu'utilisait alors leur tante Geral pour les désigner : ce sont des "lettres du pays".
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Jacob, Didier Auteur du texte
Bulletin : <>Obs 2755 - août 2017
Date parution pério
2017-08-24
Brit Bennett a 27 ans, Colson Whitehead , 47, et John Edgar Wideman, 76 : ces écrivains de trois générations racontent la difficile émancipation des Noirs aux Etats-Unis. "L'Obs" les a rencontrés.
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Pradelle, Hugo Auteur du texte
Bulletin : <>Quinzaine littéraire 1089 - août 2013
Date parution pério
2013-08-01
Ce livre de John Edgar Wideman est celui de son obsession pour Frantz Fanon. Il dresse de son modèle un portrait éclaté qui rend possible une réflexion complexe sur son oeuvre, la violence du monde, ce que les écrivains peuvent ou doivent en faire, la nature de la fiction. Un roman difficile, plein d'obstacles qu'il faut avoir le courage de franchir, un magnifique creuset pour penser la littérature, son implication dans la vie.
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Bulletin : <>Quinzaine littéraire 686 - février 1996
Date parution pério
1996-02-01
Le lundi 13 mai 1985, à Philadelphie - la ville de "l'amour fraternel" fondée autrefois par les Quakers, la ville où, lors de la Révolution américaine, sonna pour la première fois la "Cloche de la Liberté" - la police décide de déloger les occupants du 6621 Osage Avenue retranchés dans leur maison comme dans un fort Chabrol...