A partir de documents et de témoignages d'époque, cette étude offre un tour d'horizon de la situation de la musique religieuse catholique antérieure à la Contre-Réforme, propose un aperçu des principales idées de la Réforme concernant le rôle de la musique, et retrace enfin les idées reprises par le Concile.

En hiver 1634, le commerçant hollandais Van den Bogaert sort de Fort Orange, sur l'île de Manhattan, pour s'enfoncer dans le pays Mohawk. Son but est d'établir de nouveaux liens commerciaux avec les Indiens et d'acheter des peaux de castor donc l'Europe raffole. Avec ses compagnons, il va découvrir ce peuple. Journal de son exploration mis en images.

Répondant à un marché en pleine expansion, les artistes du XVIIe siècle se spécialisent dans différents genres. La préférence des acheteurs va à des dessins en couleurs, esquisses, etc. L'exposition parcourt la pluralité des styles, des techniques et des fonctions qui caractérisent le dessin hollandais : paysages, vues de villes, marines, portraits, scènes bibliques, animaux, etc.

Biographie de Vauban qui englobe les différents aspects de sa vie, de son oeuvre et de sa pensée, ses rapports avec Louvois et avec Louis XIV.

Etudie en s'appuyant sur la correspondance d'écrivains illustres ou d'inconnus, la période du XVIIe siècle où la lettre cesse d'être l'apanage d'une classe sociale privilégiée et réservée aux hommes pour devenir un moyen commode de communication.

Paris, 1640: c'est durant cette période, que l'Etat monarchique français s'oriente vers une politique culturelle consciemment mise en oeuvre afin de faire de Paris un centre artistique européen important. Les échanges artistiques et les transferts culturels avec Rome deviennent alors particulièrement intenses. Depuis le voyage d'artistes français à Rome et leur retour plus ou moins différé (Simon Vouet, Nicolas Poussin, Jacques Stella...), jusqu'au voyage d'Italiens en France (Orazio Gentileschi, Giovanni Francesco Romanelli, les Francini et autres hommes de théâtre, les assistants du Bernin...), les artistes et les commanditaires, les marchands et les collectionneurs n'ont de cesse de faire dialoguer les arts entre les deux pays. Mais au-delà de ces échanges, il y a de la part de la France un désir de supplanter Rome dans sa suprématie artistique et politique sur l'Europe. Les cardinaux Richelieu et Mazarin s'inspirent ainsi des grandes familles romaines, notamment des Barberini, pour développer les arts à Paris : commandes, collections, arts de la scène trouvent dans les années 1640 un nouvel essor. Pour saisir cette émergence, les échanges entre les deux pays et les deux villes sont abordés sous plusieurs aspects : Je voyage des artistes et des intermédiaires, le déplacement des modèles et des théories de l'art, la réception et l'adaptation des artistes et des modèles. L'analyse de ces transferts culturels permet, par une approche pluridisciplinaire, d'aborder de manière plus précise la question du mouvement des idées, des artistes et des uvres au XVIIe siècle.

La vie quotidienne du roi et de sa Cour au temps de la construction de Versailles permet d'évoquer les métiers autour du roi et de visiter le château et son parc.

Présente une étude historique des gentilhommes gascons dont le plus illustre reste d'Artagnan. Sont décrites les caractéristiques de cette noblesse provinciale dont les principaux représentants font l'objet de portraits détaillés.

Entre le XVe et le XVIIe siècles, les femmes représentent 80% des condamnés au bûcher pour sorcellerie. Selon l'auteur, cette répression traduit une peur face au fantasme d'une autonomie des femmes, la volonté, dans cette gestation de l'Etat moderne, de le construire au masculin.

A partir des recherches historiques et des hypothèses concernant l'identité possible de l'homme au masque de fer, emprisonné par Louis XIV en 1664 et devenu objet de fascination pour les historiens et les écrivains, l'auteur montre en quoi cette affaire fait partie des dix ou douze énigmes qui défraient les chroniques de générations en générations.

Présentation d'une cinquantaine de tableaux qui firent partie de la collection de quelque 1.300 pièces du baron Samuel von Brukenthal, gouverneur de la province roumaine de Transylvanie à la fin du XVIIIe siècle. Le palais de Sibiu (Hermannstadt) était ainsi un véritable musée : Van Eyck, Bruegel, Rubens... Ce catalogue analyse les oeuvres exposées et les replace dans leur contexte.