A pour ambition d'atteindre, à travers l'inactualité même des événements et des personnages qu'il retient, la permanance du discours et de l'action socialiste. Nul ne restera néanmoins insensible à cette honnête exécution du socialisme et de sa légende dorée ; mais d'aucunspourront aussi se demander :" l'imposture, n'est-ce pas en somme la politique ? "

Ce catalogue de l'exposition se tenant du 10 octobre 2008 au 11 janvier 2009, offre 90 peintures, dessins et gravures de l'école nordique issus des collections françaises : paysages, portraits, scènes de l'intimité... Il témoigne de l'intérêt de ces artistes pour la France à cette époque, révèle l'identité artistique nordique au monde entier mais dont chaque nationalité conserve ses spécificités.

Michel Décaudin (1919-2004), professeur émérite à la Sorbonne, Régent du Collège de 'Pataphysique. Spécialiste de Guillaume Apollinaire dont il édita les œuvres dans la bibliothèque de la Pléiade (

Un rapin, c'est l'équivalent d'un carabin en médecine, un futur grand peintre. Ces jeunes hommes pullulent dans les ateliers qui se multiplient à Montmartre à la fin du XIXe siècle et dans la première moitié du XXe siècle. Ce livre dresse un portrait de la vie quotidienne de ces peintres, de leurs modèles et de leurs oeuvres et décrit les hauts lieux de cette époque (la Nouvelle Athènes...).

Reproduction de cartes postales anciennes relatives au département de la Loire qui montrent les activités et les lieux tels qu'ils étaient à la fin du XIXe siècle et au début du siècle dernier.

Depuis le XVIIe siècle et plus encore au XIXe siècle, la France et surtout Paris se sont fait une spécialité du " salon ". En ce lieu de sociabilité particulière, où l'esprit est une puissance, les écrivains, les artistes et les politiques, les étrangers aussi, se rencontrent et se confrontent selon des codes, des liturgies, des modes. Les femmes y jouent un rôle essentiel, qui leur est refusé ailleurs. De Napoléon III finissant jusqu'à la veille du Front populaire, c'est dans les salons que se font et se défont les réputations, que se lancent un livre, une campagne de presse, une élection politique ou académique, un mouvement artistique. De la princesse Mathilde à Léon Blum, du dîner Magny aux Potassons d'Adrienne Monnier, Anne Martin-Fugier met ici en scène le monde des Goncourt, de Marcel Proust et des surréalistes, rendu à sa vérité historique.

Présente l'ensemble des arts russes (peinture, sculpture, arts décoratifs, arts graphiques, architecture et photographie) de la seconde moitié du XIXe siècle à la fin du régime tsariste en 1917.