Si l’olfaction a longtemps été un sens oublié, la pandémie de Covid-19 a rappelé, au grand public autant qu’à la communauté médicale et scientifique, son importance dans la santé. Des travaux récents soulignent ainsi le rôle majeur que joue ce sens dans notre fonctionnement cognitif et émotionnel, et comment l’étude de notre fonction olfactive peut nous aider à prédire, et réduire, un potentiel déclin cognitif.

De nombreuses femmes le savent : la semaine précédant leurs règles, leur moral tombe au plus bas. Puis il remonte ! Et pour cause : les fluctuations hormonales du cycle menstruel auraient un impact sur le cerveau.

L'une publie un livre sur le toxique, l'autre sur la respiration. Toutes deux font le même constat : l'époque est à l'asphyxie. Entretien croisé.

Deux individus se synchronisent et tout devient plus fluide, plus efficace, plus intense. Dans quel but et par quels mécanismes nos cerveaux entrent -ils en résonance ? C'est l'objet de la neuroscience sociale, un nouveau champ de recherche.

Depuis le Covid-19, plusieurs pays se sont dotés d'un arsenal politique pour lutter contre les effets de l'isolement sur la santé. Mais sur le plan scientifique, les mystères restent nombreux.

Chez certains patients dans le coma, la conscience subsiste, même si elle n'arrive pas à s'exprimer. Pour déceler sa présence - et espérer une issue favorable -, de nouveaux outils sont mis au point.

Quand le cerveau manque d'oxygène, par exemple après un arrêt cardiaque, le neurones ne tardent pas à mourir. Diminuer la température corporelle est alors un moyen d'éviter le pire. C'est l'« hypothermie thérapeutique ».

Comment les traumatismes se transmettent Les effets d'événements traumatisants peuvent se faire sentir sur plusieurs générations. Des chercheurs ont déjà montré que les troubles du comportement dus au stress peuvent être légués chez des rongeurs à leur progéniture.

Si nous sommes rivés en permanence à nos écrans pour échanger, consulter, communiquer et acheter, ce n'est pas un hasard : Google, Amazon et autres Facebook sont conçues exprès pour exciter des zones bien précises de notre cerveau et, ainsi, captiver notre attention. Une manipulation qui s'appuie sur certains de nos ressorts évolutifs. Sommaire. tflix, Facebook, Google... Notre cerveau adore. Les neurosciences expliquent pourquoi. Les notifications prennent en otage notre lobe pariétal. Les gratifications immédiates flattent notre système limbique.

"Illusoire", assènent les uns ! "Tout à fait réel", s'écrient les autres ! Le libre arbitre, cette faculté qui nous permettrait de faire des choix en toute conscience, agite les débats dans les neurosciences depuis 50 ans. Or voilà que de nouvelles techniques d'imagerie et d'analyse l'éclairent sous un nouveau jour. Certes, toutes nos décisions sont influencées par notre inconscient, nos émotions, ou encore la société. Mais ça ne signifie pas qu'un libre arbitre n'existe pas pour autant... Plongeons dans les méandres du cerveau humain, à sa rencontre. Sommaire.

De plus en plus perfectionnées, les techniques d'imagerie permettent d'observer le fonctionnement du cerveau lorsqu'une information perçue devient consciente. Et ainsi passer à l'expérimentation des différentes théories de la conscience élaborées depuis des décennies.