C'est à la découverte d'une oeuvre-monde que nous convient les deux volumes que la Pléiade consacre à Mario Vargas Llosa, à un festin romanesque pantagruélique.

Le "Don Quichotte" est un classique qui nous est familier. Drôle d'affaire. C'est peut-être le premier roman mais c'est aussi le premier roman du roman - dans le sens que le langage même est au centre du livre. Et si Cervantès, en créant le roman, en l'inventant, donc en ironisant l'absolu, avait créé la modernité ? Rien de moins ?

Qui se cache derrière le nom de Shakespeare ? On ne cessa de se la poser au cours des siècles, et voici qu'elle surgit à nouveau.

Malgré les années, malgré la détresse, le poète n'a jamais abdiqué. Aussi ses textes aideront-ils encore longtemps ses lecteurs à vivre.

"Les Misérables", "épopée supérieure et définitive" selon Victor Hugo, acmé de son art, est réédité dans la Pléiade.

Sommaire. L'oeuvre complète de Michel Foucault. L'esprit critique du cinéma.

L'oeuvre romanesque de l'écrivain britannique, pour l'essentiel dans une nouvelle traduction, est disponible dans la ″Pléiade″.

Le funambule Georges Perec (1936-1982) accède enfin au firmament.

On a beau le commenter, le rapiécer, le traduire, le farcir et le cuisiner depuis plus de cinq siècles, toujours le poète médiéval échappe et se dérobe. Une exemplaire édition en Pléiade parvient néanmoins à nous transmettre l'héritage composite de cet artiste du lambeau, clamant la fatalité de la dispersion.

Par la grâce d'une nouvelle traduction, le poète terrien tombe la toge et s'affirme comme le plus grand écrivain écologiste de tous les temps.