L'implication des bactéries intestinales dans certaines maladies mentales (autisme, dépression ... ) fait de moins en moins de doute. Alors pourrait-on soigner ces maladies par le ventre plutôt que par le cerveau?

La seule preuve de l’existence des rêves, c’est le récit qu’en fait le rêveur, souligne le psychologue Tobie Nathan. Voilà qui rend délicates leur interprétation et la compréhension de leurs mécanismes. Mais qui ne suffit pas à décourager les scientifiques de s’y intéresser. D’abord en recueillant des récits de rêves au moment du réveil, ensuite en enregistrant l’activité cérébrale juste avant l’éveil, enfin en filmant des patients qui vivent leurs rêves en dormant. Conclusion, loin d’être absurdes, nos rêves simuleraient des menaces pour nous entraîner à y répondre dans la vie éveillée.

Le cannabis, la cocaïne et autres LSD sont certes des drogues. Mais ces composés commencent à être utilisés comme anxiolytiques, somnifères ou anesthésiques. Quel est le véritable potentiel des stupéfiants en clinique ?

Par une simple prise de sang, votre médecin sera capable d'estimer, dans quelque temps, le risque que vous soyez atteint un jour d'une pathologie mentale : schizophrénie, addiction, Alzheimer, dépression, trouble bipolaire... Ce n'est pas de la science-fiction, mais le pari que les scientifiques, chercheurs et médecins tentent de relever depuis quelques années. Car ils sont en train de mieux comprendre les pathologies neurologiques et psychiatriques, ce qui les amène à les redéfinir et à les classer différemment.

Les bactéries de notre intestin seraient capables de ralentir la progression des maladies neurodégénératives. Des chercheurs viennent de découvrir comment.

Au XVIIIe siècle, les savants recommandaient de réanimer les noyés en leur insufflant de la fumée de tabac ... par l'anus ! En remontant la piste de cette étrange pratique, on aboutit à une conclusion étonnante : elle proviendrait d'une danse comique ancienne jouée lors du carnaval...

Le sang d'un ver de sable, qui fixe 40 fois plus d'oxygène que le nôtre, a permis la mise au point par une start-up, Hemarina, d'une molécule au potentiel énorme, notamment pour les greffes.

Comment cartographier les circuits neuronaux et identifier leur fonction avec une précision inégalée ? En utilisant le virus de la rage !