Une grande exposition, à la Villette, à Paris, explore les rapports étroits entre la musique et la dictature soviétique. Et tente d'expliquer comment, de 1917 à la mort de Staline, en 1953, de grands compositeurs ont pu être menés à la baguette.

Le commissaire d'exposition Régine Cuzin réunit à l'hôtel de Ville de Paris une dizaine d'artistes issus de départements et territoires d'outre-mer, mais aussi de Cuba ou du Panama.

Marc-Olivier Wahler, le directeur du Palais de Tokyo à Paris, s'interroge sur les possibilités de la fuite dans un monde où tout est contrôlé.

Travaillant autour de questions d'attribution, le Musée du quai Branly révèle les oeuvres des artistes d'Abomey, ancien royaume de l'actuel Bénin.

Avec Crime et châtiment, le Musée d'Orsay se lance dans les manifestations pluridisciplinaires exemplaires dont Jean Clair s'est fait une spécialité.

Les fabuleuses collections de la célèbre famille florentine font une escale sans éclat au musée Maillol à Paris.

Le Musée Jacquemart-André, à Paris, évoque l'art français du XVIIe siècle sans convaincre.

Le Musée du Louvre offre un nouvel éclairage sur les débats artistiques et philosophiques qui ont secoué le XVIIIe siècle en France, mais aussi dans le reste de l'Europe.

L'exposition organisée par cinq fondations européennes tente de donner une tonalité commune à des sensibilité diverses.

L'auteur cherche à saisir le processus d'élaboration de la signification d'une manifestation d'art contemporain en s'appuyant sur une triade théorique. D'une part, elle considère l'exposition comme un ″texte″ au sens où l'entend Jean Davallon, elle s'intéresse, d'autre part, aux ″discours″ de cette manifestation dans le prolongement des travaux de Michel Foucault et envisage enfin l'exposition artistique sous l'angle de l'″énonciation éditoriale″ telle que la définit Emmanuël Souchier.