Sa mission : constituer un pôle chargé d'imaginer les produits et services les mieux adaptés aux filiales du groupe sur le continent. L'ingénieur télécoms dévoile ses ambitions pour cette nouvelle entité.

Un ancien directeur régional raconte le plan machiavélique de l'entreprise pour faire partir 22 000 personnes du groupe sans avoir à les licencier.

L'ouverture d'une information judiciaire, pour harcèlement moral sur le fondement d'une organisation pathogène du travail, marque un précédent.

Le parquet demande le renvoi de sept dirigeants de France telecom, dont Didier Lombard, devant le tribunal correctionnel pour harcèlement au travail.

Loin de se cantonner à des applications liées au téléphone, la recherche et développement de France Télécom travaille sur de nouveaux appareils et services qui n'ont pas forcément la communication comme première motivation.

Le nouvel homme fort de l'opérateur de télécommunications s'attelle à trois dossiers de taille : relancer le contrat social, rectifier la stratégie, refondre son état-major. Un chantier à haut risque.

Depuis le 1er août les Français peuvent bénéficier d'un forfait de connexion à l'Internet à prix réduit. Sous la pression des internautes et des politiques, France Télécom s'est résolue à lancer une formule de vingt heures de connexion pour 100 francs par mois.

L'un est patron de France Télécom, l'autre est à la tête de la Générale des Eaux. Le big-bang du téléphone qui met fin au monopole fait de ces deux hommes des ennemis mortels. Déjà rivaux pour le téléphone portable, ils s'affronteront bientôt sur tous les fronts des télécommunications : téléphonie classique, Internet, réseaux câblés, télévision numérique...

Frédérique Dumas dirige la filiale production de France Telecom.

Il y a un an, 4 millions de Français se ruaient sur les actions de l'opérateur téléphonique. Ils ont doublé leur mise. Aujourd'hui, Michel Bon, le PDG, repasse les plats...

Le 7 octobre, des actionnaires privés entreront dans son capital. Une date historique. Après cinq années de rude bataille entre partisans et adversaires de la privatisation, le débat est tranché. Il était temps...

Malgré l'opposition des principaux syndicats, le gouvernement relance la privatisation partielle de France Télécom mais promet de conserver les deux tiers du capital. Une réforme inéluctable à quatre mois de l'ouverture du marché à la concurrence.