Dans la deuxième ville d'Ukraine, à 80 kilomètres de la ligne de front, et malgré les bombardements qui se poursuivent, on réfléchit déjà à la reconstruction de la cité historique.

Un an après l'invasion de l'Ukraine par les troupes de Vladimir Poutine, le conflit, qui n'en finit pas de ravager le pays, a bouleversé l'ordre mondial. Jusqu'où cela peut-il aller ? Notre dossier spécial. Sommaire. Bakhmout, la mort de près. Quatre scénarios pour un long conflit. "Une régression historique stupéfiante". Comme en 14. L'emprise du système Poutine. Russie : voyage dans un pays malade de sa guerre. Les habits neufs du président Macron. L'année où le monde a changé. Europe : l'économie fait de la résistance.

Les individus peuvent-ils être tenus responsables des agissements de leur pays ? Vaste question, à laquelle, spontanément, on a plutôt envie de répondre par la négative, a fortiori quand le dit pays est une autocratie. Sommaire. Rob Koehler, directeur général de l'association Global Athlete : "L'imbrication entre sport et propagande est permanente". David Lappartient, président de l'Union cycliste internationale et membre du Comité international olympique (CIO) : "Une forme inacceptable de discrimination".

L'absurdité de la bataille, qui dure depuis des mois dans une ville à l'intérêt stratégique secondaire, atteint son apogée avec les gesticulations d'Evgueni Prigojine, leader du groupe Wagner.

Un village détruit et des survivants terrés dans les abris. Des aumôniers qui bravent les tirs avec Jésus pour toute protection. Des Jeep transportant les soldats morts et les blessés... A l'heure de la contre-offensive, c'est le quotidien de ceux qui vivent dans l'enfer de la guerre.

Leurs noms de code militaires étaient "Poète", "Sénèque" ou "Apollon". Ils sont morts jeunes, au front. Les familles ont dû parfois attendre plusieurs mois avant de récupérer leurs corps.

Lenteur de la contre-offensive, corruption... Alors que les élections aux Etats-Unis et en Ukraine approchent, c'est la fin de l'état de grâce pour le président ukrainien.

Près de 20 000 jeunes Ukrainiens auraient été transférés de force en Russie au prétexte d'une "mission humanitaire". Moins de 400 sont rentrés chez eux. Un crime de guerre, qui vaut à Vladimir Poutine un mandat d'arrêt de la Cour pénale internationale.

Ils seraient une centaine à avoir pris les armes aux côtés des Ukrainiens contre l’envahisseur russe depuis le 24 février 2022. Parmi eux, des aventuriers, d’anciens militaires, des patriotes, mais aussi des néonazis, tous suivis de près par les renseignement. Par

Alors qu'Emmanuel Macron a créé la polémique en évoquant un éventuel envoi de troupes en Ukraine, la participation réelle de la France à l'effort de guerre continue de faire débat.

Les atermoiements de Washington contraignent les alliés européens de Kiev à renforcer leur soutien face à la Russie. Mais ils restent empêchés par des désaccords stratégiques et une industrie de défense balbutiante.

Depuis le début de la guerre, l'Ukraine mobilise comme jamais ses relais dans la capitale américaine pour maintenir une pression maximale sur le Congrès, les groupes de réflexion et les journalistes, afin d'obtenir toujours plus de livraisons d'armes.