Genève, l’une des villes les plus riches et les plus chères du monde, accueille à bras ouverts le héraut des petits paysans sans-terre indiens, parmi les plus pauvres de la planète : le symbole est fort. Rajagopal P. V., surnommé le «nouveau Gandhi», président et fondateur du mouvement indien Ekta Parishad, était de passage à Genève du 23 au 30 novembre 2017 pour promouvoir sa prochaine grande action, la Jai Jagat 2020.

En Uttar Pradesh, dans les assemblées paysannes contre les réformes agricoles de Modi, la colère semble estomper l’opposition entre hindous et musulmans. Cela pourrait aboutir à un rejet du BJP, le parti au pouvoir, lors des prochaines élections. "Les femmes se mobilisent" paru dans "The Indian Express", vient compléter l'article.

Deux séries de télé-réalité qui suivent les préparatifs de fastueux mariages indiens connaissent un vif succès sur la plateforme de streaming. Dommage qu’elles brillent par leurs clichés, déplore ce magazine de New Delhi.

Un art martial - d'après Mars , le dieu de la guerre - induit une codification des techniques, une répétition inlassable des gestes, une relation maître disciple et un code de conduite. Pieds, poings, coudes, tête... le corps est une arme. Mille arts martiaux, au fil des siècles, sont apparus, ont suscité les exploits. Mais à l'Est, quelque chose de plus subtil s'est mis en place. L'engagement de l'esprit dans chaque mouvement, la circulation de l'énergie, la synchronisation de la respiration... les arts martiaux d'Asie, plus que tout autre, visent à l'alliance totale du corps et de l'esprit.

Enfant, Rahul Gandhi détestait la politique. Pourtant, celui qui a démissionné de la présidence du parti du congrès après un nouvel échec aux élections en 2019 pourrait bien replonger en juin 2021. Pour faire honneur à son nom. Car, depuis l’indépendance de l’Inde, en 1947, les membres de sa famille ont gouverné le pays à plusieurs reprises. Après Nehru premier dirigeant de l’union, Indira et Rajiv ont été premier ministre à leur tour. Dans cette dynastie, l’engagement politique se fait à marche forcée, au fil des tragédies : assassinats, attentat, accident...

C’est un bois sacré pour l’Inde. Un arbre royal dont l’essence capte l’odeur des fleurs et des racines. Une particularité faisant du santal l’une des matières premières les plus prisées de la parfumerie. Victime de la déforestation, il est également l’objet d’un important trafic. Dès lors, le gouvernement tente par tous les moyens de structurer la filière afin de préserver un savoir-faire unique au monde menacé de disparition, comme dans le Kerala, dans le Sud, ou dans la ville de Kannauj, au nord, le "Grasse indien" aux 250 distilleries.

Le 23 mai 2019, l’Inde a conclu sa dix-septième élection générale. Il s’agissait du plus grand exercice électoral démocratique de l’histoire du pays et du monde.

Au printemps 2019, le Premier ministre indien sortant, Narendra Modi, avait en partie dû sa réélection à la fièvre nationaliste dont le pays avait été le théâtre à la suite de l’attentat islamiste de Pulwama (Jammu-et-Cachemire) de février et aux frappes aériennes visant le Pakistan (où l’attentat en question aurait été fomenté) qui s’en étaient suivies.

Le mobilier conçu pour la ville de Chandigarh, bâtie en Inde dans les années 1950, est-il la création exclusive du Suisse Pierre Jeanneret ? Trois historiens contestent ce récit, destiné selon eux à séduire de riches acheteurs occidentaux.

Frappée de plein fouet par une violente vague de contaminations, l’Inde ne parvient plus à produire assez d’oxygène pour alimenter ses services de santé, qui sont débordés. "Scroll.in" décrypte les raisons de cette pénurie, au premier rang desquelles un manque de préparation.

Hôpitaux et morgues surchargés, pénuries de médicaments et d’équipements : la déferlante de contaminations qui touche le pays montre les failles du système de santé indien. Elle accentue aussi les inégalités profondes et les tensions religieuses. Une situation dans laquelle le Premier ministre indien, Narendra Modi, et son gouvernement risquent de laisser des plumes. Sommaire. Covid-19. "Modi a mis l’Inde à genoux". L’heure de vérité a sonné pour le régime.

Rétrécissement des surfaces disponibles, hausse du prix des droits de pâturage... Sous l’effet des politiques de reboisement, les bergers de l’ethnie des Bhotias, dans le nord de l’Inde, sont poussés à délaisser leur activité.