Pour pousser les Palestiniens à quitter la Ville sainte, les Israéliens leur accordent rarement de permis de construire. Et tout logement bâti sans permis devra être démoli par ses propres occupants, explique le site libanais "Daraj".

Jamais encore un artiste arabe israélien n’avait exposé en solo au musée d’Israël, à Jérusalem. Raida Adon est la première. Elle explore le drame des réfugiés, en Palestine et ailleurs.

Sans faire la moindre concession sur la question palestinienne, le Premier ministre israélien a réussi à se réconcilier officiellement avec un pays arabe pétrolier, explique ce quotidien de centre gauche.

La ville israélienne veut profiter d’une dynamique régionale favorable pour éclipser Beyrouth et devenir la courroie de transmission entre la Méditerranée et le Golfe, écrit ce quotidien libanais.

Après l’élimination, attribuée à Israël, de Mohsen Fakhrizadeh, éminent physicien nucléaire iranien, le journal israélien Ha’aretz redoute une "confrontation militaire avec l’Iran".

Un enfant armé doit-il être traité comme un soldat ? Qu'est-ce qui distingue un dommage collatéral d'un crime de guerre ? Voilà le type de questions auxquelles sont confrontés les soldats dans les nouveaux conflits "asymétriques". Pour les aider dans leurs décisions, des philosophes, comme Moshe Halbertal en Israël, participent à l'élaboration de codes éthiques militaires. Nous l'avons rencontré.

Sur les hauteurs jurassiennes, entre Lausanne et Genève, la Fondation Jan Michalski a remis en décembre son prix de littérature 2019. Le jury international distingue depuis dix ans des livres ambitieux, de toutes nationalités. La lauréate, l'israélienne Zeruya Shalev a livré au cours de la cérémonie sa vision de la littérature. Une certaine idée de l'amour, de la violence, de la douleur.

A l'origine d'"In Treatment", série qui consacra l'influence internationale des productions israéliennes, Hagai Levi porte sur son pays un regard singulier et à contre-courant. Auteur devenu incontournable, il nous parle d'"Our Boys", un récit inspiré de faits réels à la haute teneur politique.

Le Likoud de Benyamin Netanyahou est adoubé par la majorité des électeurs israéliens. Mais qui sont ses pères fondateurs? Voyage à travers le siècle sur les traces d'une idéologie qui a fini par vaincre le sionisme socialiste.

La Torah ne les a pas préparées à ça. Les communautés juives ultraorthodoxes israéliennes paient un lourd tribut au coronavirus. Isolées du monde et des médias, menées par des rabbins rétifs aux directives de l’Etat, ces enclaves religieuses ont tardé à se prémunir du danger. Leurs quartiers, leurs villes sont les principaux foyers d’infection du pays.

Algérien, marxiste, antisioniste, le cinéaste Jean-Pierre Lledo a opéré un lent et tardif retour vers ses racines maternelles juives. Cette bascule existentielle est le sujet d' "Israël, le voyage interdit", film-fleuve qui sonde la société israélienne et la pensée juive.

Ce médecin qui coordonne depuis cet été la gestion du Covid-19 a dû prendre des mesures drastiques pour endiguer l’épidémie. Ses décisions lui valent de nombreuses attaques, notamment des ultraorthodoxes, mais il reste populaire dans l’opinion publique.