Les nouveaux philanthropes sont jeunes, impatients et n’aiment pas les complications administratives. Détails. Pas de chiffres.

Pour trouver des jeunes donateurs, les associations parient sur les micro-dons, les cagnottes en ligne, et une plus grande proximité avec leurs publics. Elles doivent aussi publier des reports réguliers pour satisfaire le désir de transparence des moins de 35 ans, plus vigilants sur la traçabilité de leurs dons, ainsi que les contenus multimédias dont sont friands ces nouveaux donateurs. Heureusement, ils sont globalement plutôt généreux : leur effort de don est équivalent à celui de leurs aînés de plus de 65 ans. Quelques données chiffrées.

Les fondations renforcent leurs actions au niveau local, là où la crise a creusé les inégalités.

Dans la région de Bordeaux, tous louaient son sens de la fête et sa générosité : Jonathan Laulan, dit "Jojo", était connu pour organiser de gigantesques lotos caritatifs au profit d'associations. Jusqu'à ce que l'on s'aperçoive que la majeure partie de l'argent finissait sur son compte. Son procès se tenait le 24 juin dernier.

Cantines populaires, distributions alimentaires "pirates" : des collectifs se mobilisent pour venir en aide aux plus démunis. Avec la crise sanitaire, leur rôle s'est encore accru.

Retraités, étudiants, travailleurs pauvres... Avec l'inflation, de plus en plus de Français, qui vivaient dejà dans la précarité, se tournent vers les associations. Elles peinent à faire face à l'afflux des demandes.

L'abbé Pierre comme d'autres figures de grandes causes ont été les parfaits « bons clients » de médias en quête de voix fortes. Et sont devenus intouchables. Retour sur une mystification collective. Sommaire. Après l'affaire abbé Pierre, enquête sur la fabrique des héros. Faut-il mettre un visage sur une grande cause ?

Américaine d'origine égyptienne, Ayyam Sureau a fait de l'Hexagone sa patrie de coeur et a fondé une structure destinée aux demandeurs d'asile, avec la camaraderie comme fanal.

La question est plus subtile qu’il n’y paraît, selon qu’on considère l’efficacité quantifiable des actions mises en place, ou bien le caractère utile et impactant de la cause soutenue. Détails. Pas de chiffres.

Manque d’information, crainte quant à l’utilisation qui sera faite du patrimoine transmis, lourdeur de la mise en oeuvre... Le legs caritatif bute encore sur de nombreux freins et reste peu répandu en France. Conscientes de l’enjeu que représente ce dispositif pour leur financement, les associations ou fondations bénéficiaires mettent tout en place pour informer les testateurs potentiels, les rassurer et les accompagner à chaque étape de leur démarche. Sommaire. Le legs caritatif dédramatisé. Une succession sous contrôle grâce au legs. Dossier. Quelques données chiffrées.