Alors que la nature des manifestations s'est profondément transformée, notamment avec le mouvement des "gilets jaunes" puis des "antivax", comment les forces de police s'adaptent-elles ? La doctrine qui régit le maintien de l'ordre et la part de désordre acceptable dans une société doit-elle changer ? Enquête.

Près de 21 millions de vérifications d'attestations ont été menées par les forces de l'ordre en deux mois. Enquête.

Justice, police, éducation... La violence, qui rythme l'actualité, choque les Français. Sommaire. Mais où est passé l'autorité ? Tribunaux. L'ère du refus de punir. Maintien de l'ordre à la tchétchène. Hugues Lagrange : « Une perte de souci du bien commun ». Education. Enfants tyrans, parents envahissants... Jean-Pierre Chevènement : « Contre la violence, l'angélisme ne protège pas ».

Le « Che » publie ses Mémoires, "Qui veut risquer sa vie la sauvera" (Robert Laffont). Entretien et extraits dans l'article intitulé "Mémoires d'un insoumis".

Comment le ministre de l'Intérieur compte tirer avantage de la tourmente actuelle.

Alors qu'en métropole on proteste contre la politique d'expulsions de Darmanin, sur l'île on réclame son accélération. Reportage.

L'ex préfet de police Didier Lallement public un ouvrage choc sur ses trois ans dans la tempête. Extraits exclusifs.

La société française est-elle engagée, comme l'a affirmé Emmanuel Macron, dans un "processus de décivilisation" ? L'analyse chiffrée des agressions montre une certaine stabilité des faits de violence, avec des écarts selon les types d'agressions et les zones géographiques. Cette information, complexe, est indispensable pour penser l'évolution de la société, le rôle de l'Etat et sortir du piège idéologique.

Héritière des "chatouilleuses", ces femmes qui se sont battues dans les années 1960 pour arrimer l'île à la France, la députée réclamait depuis des mois la reprise des opérations sécuritaires. Elle a été entendue : "Wuambushu 2" a débuté.

Le président Emmanuel Macron a décidé de soumettre au Conseil constitutionnel une loi "anticasseurs" que sa majorité parlementaire a déjà votée. Après des dégradations en série sur les Champs-Élysées le 16 mars, il a également choisi de confier à l’armée une partie du maintien de l’ordre. Ce durcissement répressif spectaculaire s’inscrit dans l’histoire d’une République autoritaire.

Aux États-Unis, le maintien de l’ordre relève des autorités locales. Comment dès lors expliquer qu’une ville réputée progressiste comme Minneapolis soit le théâtre d’exactions policières racistes à répétition ? Dotés d’un lourd passif en matière de violences contre les habitants noirs, ses services de police y jouissent d’une impunité presque totale. Du moins jusqu’à la mort de George Floyd.