A grand renfort d'ouvertures dans la capitale, la cuisine israélienne entend démontrer qu'elle n'a rien à envier à la culture gastronomique française. Décryptage d'un art culinaire bien plus déluré qu'il n'y paraît.

C'est une oeuvre majeure du XXème siècle, qui a toujours eu ses passionnés, mais qui, comme cela arrive souvent en France, pays qui adore se tromper sur ses grands artistes, n'a pas eu l'heur de plaire à l'ensemble de notre clergé artistique. Vingt ans après la mort de son auteur, le Centre Pompidou lui consacre enfin la rétrospective qu'elle mérite (13 décembre 2017 - 26 mars 2018).

"Je fais des paysages sans paysages", précise Paul Vergier. En prenant pour sujet une nature artificielle, constituée d'architectures nomades, de constructions précaires, de serres et de cabanes, ce sont plutôt des atmosphères qu'il conçoit, des formes mouvantes qui interrogent notre regard sur le monde. Il expose à la H Gallery, à Paris, jusqu'au 6 janvier 2018.

Au Musée de l'Orangerie, l'exposition « Dada Africa » montre comment ce courant iconoclaste qui révolutionna l'histoire de l'art a en partie puisé son inspiration sur le continent.

On pouvait y croiser Johnny Hallyday ou Serge Gainsbourg, Yannick Noah un soir de victoire à Roland-Garros... Mais aussi des princes du Golfe et toute la classe dirigeante africaine. Au Keur Samba, à deux pas des Champs-Elysées, ce beau monde faisait la fête. Et réglait ses affaires. Pendant trente-quatre ans, N'diaye Kane a régenté ce haut lieu de la nuit, au carrefour de la "Françafrique" et du Paris mondain.

Musée «d'atmosphère», le musée de la rue Cortot, au pied d'un jardin inspiré par Renoir, l'atelier-appartement des deux artistes montmartrois Maurice Utrillo et Suzanne Valadon, et conserve la mémoire de ceux qui ont travaillé en ses murs : Renoir, Bernard, Friesz et aussi Dufy.

Le musée d’Orsay consacre une exposition à l’auteur de la "Petite danseuse de quatorze ans" au prisme de l’analyse de son oeuvre qu’en a faite Paul Valéry dans son magistral essai "Degas Danse Dessin".

Paris se targue d'être la ville d'Europe la mieux pourvue en transports en libre-service. Mais de nombreux engins font l'objet de dégradations, au point de menacer la viabilité économique des nouveaux acteurs.

Call centers, offres promotionnelles, livraison à domicile... avant l'appli ? Aujourd'hui, à Paris, plus la peine de se déplacer pour acheter son pochon. Une "ubérisation" du trafic qui semble satisfaire autant les revendeurs que les consommateurs. Mais que fait la police ?

Quel est le point commun entre Rubens et Georg Baselitz, entre Claude Monet et Bernar Venet ? Tous sont des artistes collectionneurs. Tableaux, dessins, sculptures, mais aussi bibelots, pierres, masques ou fétiches... Ils accumulent des objets de toutes sortes et font volontiers du troc avec leurs confrères pour acquérir des oeuvres susceptibles de nourrir leur imaginaire. À partir du 16 février 2018, le Palais de Tokyo dévoile les trésors ainsi engrangés par les plasticiens et amis Kader Attia et Jean-Jacques Lebel.

A l'occasion de son exposition à la galerie Thaddaeus Ropac à Paris, jusqu'au 24 février 2018, VALIE EXPORT revient sur les différents axes de son oeuvre, met en garde contre les dérives du #metoo, parle du problème du voyeurisme et de l'extension du terrain du féminisme.

Un peu plus de deux ans après la rétrospective -diversement reçue- de Jeff Koons au Whitney Museum de New York et au Centre Pompidou, Didier Ottinger revient sur cette oeuvre en prenant l'artiste au pied de la lettre : sa vie éclaire-t-elle son oeuvre ?