A rebours des positions du président de la République, l'actuel ministre des Transports est la première personnalité macroniste à se dire favorable à la légalisation de la gestation pour autrui. Tout en s'inquiètant de la fragmentation de son camp, et en avançant ses idées sur le terrain de l'écologie et du sociétal.

Le conseiller du CAC 40, qui a ses entrées à l'Elysée, jette un pavé dans la mare : il critique désormais ouvertement les choix économiques du gouvernement et dénonce la résignation des élites face à une éventuelle élection de Marine Le Pen.

Après la validation de la réforme des retraites, cette assemblée de neuf membres se trouve à nouveau accusée de complaisance envers le pouvoir. Plongée au coeur d'une institution aussi mystérieuse que frileuse.

Emeutes urbaines, nombreux déplacements, OPA ratée sur Matignon : après un curieux été, le ministre de l'Intérieur affirme ses ambitions personnelles. Fin août, il organise à Tourcoing sa première rentrée politique

Souvent résumé aux congés payés et au Front populaire, l'héritage de Léon Blum est en réalité bien plus large et profond. Discussion entre Philippe Collin, réalisateur d'un podcast à succès sur la vie du leader socialiste, et l'historien Pascal Ory.

"Le compromis, ce n'est pas une boîte avec des outils bien rangés qui pourraient servir à tous les coups ; c'est une conception et une pratique de la démocratie. Ce qui fonde cette dernière, c'est la reconnaissance que des visions et des intérêts contradictoires traversent la société. En démocratie, on n'empêche pas ces courants de s'exprimer mais on trouve les voies et les moyens d'organiser la confrontation des différentes opinions et d'arbitrer entre ces intérêts contradictoires". Sommaire. Urgence.

Le président de la République a annoncé refuser de la nommer au poste de première ministre le lundi 26 août. La candidate plébiscitée par le Nouveau Front populaire ne renonce pas pour autant à Matignon et se donne pour mission de préserver l’union des gauches.

L'ancien Premier ministre se déclare officiellement au "Point" et sonne l'alarme face au risque de l'immobilisme et aux périls démocratique, budgétaire, sécuritaire qui menacent la France.

Cette arme parlementaire qui va peser plus que jamais n'est pas sans risque. Ni pour ceux qui la déposent ni pour le pays.

Peut-on encore empêcher le Rassemblement national (RN) de prendre les clés de la maison France ? Oui, ont répondu début juillet les électeurs de gauche, et, dans une moindre mesure, ceux du centre et de la droite modérée, en lui barrant l'accès à Matignon. Mais quand un barrage ne tient qu'à des règles électorales bien commodes, chacun conçoit qu'il est urgent de le renforcer. La première pierre, moins évidente à poser qu'il n'y paraît, consiste à bien déterminer les raisons de la progression du RN. De quoi identifier les chantiers les plus urgents et les acteurs qui peuvent les porter.

Credo. Terrorisme, Calais, laïcité, islamisme... Le ministre de l'Intérieur s'explique. Entretien.