L’émission de télé-réalité qui met en compétition des drag-queens vient de lancer sa troisième saison en France. En l’espace de quelques années, ce programme est parvenu à populariser le drag show et à imposer ses codes.

Créé en 1950, au lendemain de la guerre, l'emblématique groupe de tourisme français immortalisé par le film "Les Bronzés" reste synonyme de vacances "sea, sex and sun". En 1970, Serge Trigano, fils du cofondateur, était chef de village à Corfou. Il avait 24 ans Propos recueillis par

Dès le 26 juillet 2024, il s’est passé quelque chose. Les Français se sont découverts enthousiastes, joyeux et même unis, s’étonne la presse étrangère, qui adhère aussi, presque unanimement, à ces JO. Un engouement qui n’empêche pas les critiques, ni la lucidité : cette parenthèse, nécessaire après une séquence politique douloureuse, va se refermer. Espérons qu’il en restera quelque chose. Sommaire. Vu des Etats-Unis. Que je t’aime ! Du ronchonnement à l’enthousiasme. Un concert de louanges, florilège de la presse étrangère. Partout, la liesse, portfolio. Vu de Suisse. Que fait la police ?

Après deux ans de pandémie, le monde de la nuit a retrouvé ses créatures. Les cabarets connaissent un succès grandissant et des spectacles engagés et joyeux se développent un peu partout. Tour d'horizon (non exhaustif)...

Le Festival international de théâtre de rue d’Aurillac et le festival Météo de Mulhouse, dédié aux musiques aventureuses, font preuve d’une belle vitalité dans un contexte économique et politique pour le moins morose. État des lieux avec leurs directeurs respectifs, Frédéric Remy et Mathieu Schoenahl.

Les organisateurs l'espéraient, les Français en doutaient. Mais la liesse olympique a bien gagné le pays. Des campings aux Ehpad en passant par les stades, la joie d'accueillir le monde et de célébrer les médailles tricolores se répand, après des années de polémiques et une crise politique qui perdure. Sommaire. JO, la ferveur retrouvée. La France à l'heure des Jeux. Pour tout l'or des bleus. Pascal Blanchard : "La dureté des temps empêche rarement la fièvre olympique". Au resto, un calme olympique.

Où était passé Manu Chao ? Alors qu'il sortira dans quelques semaines son nouveau disque, "Viva Tu", "Society" l'a suivi pendant plusieurs mois et plusieurs milliers de kilomètres entre l'Argentine et la France, le Chili et l'Italie, sur fond d'une tournée sans fin qui raconte ceci : même 17 ans après son dernier "vrai album", l'homme de "Clandestino", toujours capable de remplir n'importe quelle salle de n'importe quel pays du monde, n'a en vérité jamais cessé d'être là. Et revient toujours sur ses traces.

Après avoir témoigné dans ces pages pendant deux décennies de la croissance du grand rendez-vous de l'animation, puis y avoir lu les comptes rendus de Bernard Génin, le signataire de ces lignes, en renouant après quinze ans avec la fréquentation du festival d'Annecy, a vite compris le questionnement qui dominait le bilan de la dernière édition ("Réduire la voilure ou agrandir les salles ?").

Siroter un gin fizz et rester sobre... Une nouvelle tendance, née aux Etats-Unis, qui na pas échappé aux alcooliers et aux "bartenders". Par choix éthique ou opportunité commerciale.

Coupes du monde de football et de rugby, Tour de France, Jeux olympiques... Chaque année, les grandes compétitions sportives réunissent des milliards de spectateurs dans toutes les régions du globe. En dehors du sport, peu d'événements peuvent se targuer d'en faire de même. Comment expliquer un tel phénomène ?

Le 20 octobre 1984, la maison Cartier ouvrait un lieu consacré à l'art contemporain à Jouy-en-Josas, dans les Yvelines. A coups d'expositions décoiffantes qui attirent un nouveau public, la fondation met en lumière inconnus prometteurs et artistes confirmés. Ce mécénat pionnier a ouvert la voie à l'arrivée des grands groupes privé dans le champ culturel, jusque-là jalousement gardé par l'Etat.

En apparence, l'engouement du public n'a jamais été si fort pour la photo. Mais confrontés aux difficultés de la presse, peu soutenus par les institutions et dévalorisés par le numérique, les photographes sont à la peine.