Eclairage, en mars 2012, sur la stratégie de communication à mettre en oeuvre par les entreprises françaises en cas de situation de crise. Un événement qui survient toujours dans la vie d'une entreprise mais qui déstabilise totalement les dirigeants, plus ou moins habitués à prendre la parole.

Point sur la multiplication des usages du réseau social mondial d'origine américaine Twitter et décryptage de ses atouts. Intensément utilisé dans le monde des médias, de la communication et du marketing, ce service permet de rapidement partager informations et contenus, mais n'a pas vocation à rester cloisonné dans ce seul univers. En effet, les professionnels s'emparent aujourd'hui du réseau pour : passer des messages, trouver des informations, converser et interagir avec ceux qui comptent, façonner sa réputation et son identité numérique.

Décryptage des réactions des entreprises qui connaissent à un moment de leur histoire des périodes de crise. Si certaines choisissent de minimiser les problèmes rencontrés, d'autres font de leurs erreurs un axe de communication, et ce même bien après la période de troubles. Une stratégie qui peux s'avérer payante à condition de bien maîtriser sa communication. Si la conduite à tenir dépend bien évidemment du contexte, il n'en demeure pas moins qu'une prise de parole et l'expression d'une compassion pour le public s'imposent.

Essor des pure players en France qui ont transformé en profondeur le marché des agences de communication, le rendant encore plus concurrentiel. Spécialisées dans le secteur digital, ces agences proposent désormais une expertise dans les différents domaines de la communication Web (marketing viral, référencement, mobilité, création de sites... ). En face, les généralistes mettent en avant une expertise plus globale dans le domaine de la communication. Les entreprises clientes doivent connaître très finement leurs besoins pour bien choisir.

L'imprimerie agonise mais l'écrit règne. McLuhan avait tout prévu mais il aurait adoré qu'on lui raconte ce qui est advenu du monde après sa mort. Google, Facebook, Twitter et les autres sont ses enfants.

La fonction journalistique ne disparaît pas, elle se morcelle. Espérons pour le meilleur.

Le blogueur Eric Scherer, spécialiste de la prospective média, explique pourquoi les médias traditionnels ont tout à craindre des nouveaux usages numériques.

Tweets, SMS, recherches Google, dossiers médicaux... Un flux colossal d'informations circule aujourd'hui sur tous les supports numériques. Décortiquées, compilées, analysées, ces ″données massives″ (big data) se révèlent très précieuses. Elles annoncent une révolution pour les gouvernements, les scientifiques, les entreprises... et - pourquoi pas ? - pour nous.

Se déconnecter du web pour retrouver la ″vraie vie″ est une démarche fondamentalement puritaine. Echec assuré.

Réflexion sur le devenir de la télévision, un média de masse qui pourrait disparaître, au moment de l'essor d'Internet, comme autrefois la presse quotidienne au moment du développement de la télévision. Les menaces qui pèsent sur la télévision : la multiplication des chaînes, des écrans et des usages, ainsi que la fragmentation des audiences et des annonceurs. Toutefois, le digital offre de nouvelles perspectives de diversification, et les chaînes deviennent des marques média au service d'une exploitation multisupport (télévision de rattrapage, second écran, vidéo à la demande, etc.).