L’attentat qui a frappé Vienne le 2 novembre 2020 s’ajoute à d’autres atrocités récemment perpétrées par des islamistes en France et en Allemagne. Cette nouvelle vague de violences a de moins en moins de liens directs avec Daech. L'article de The Economist est complété par celui de "Der Standard", intitulé "L’Etat islamique n’a pas perdu de son influence".

Les attentats de Conflans-Sainte-Honorine, Nice et Vienne, en Autriche, ont mis en lumière la complexité des réponses à apporter au terrorisme islamiste. La loi sur le séparatisme envisagée en France est-elle la bonne (et la seule) stratégie ? A quoi a-t-on affaire et comment les Etats de droit peuvent-ils résister ? Dans "Der Standard", une politologue dénonce l’idéologie totalitaire qui arme le bras des djihadistes. Même constat pour cette spécialiste de l’islamisme en Europe ou pour cet éditorialiste algérien : c’est à l’islam politique qu’il faut s’attaquer selon eux. Sommaire.

Dès la première journée d'audience, il paraissait clair que le procès des attentats de Charlie Hebdo, de Montrouge et de l'Hyper Cacher de Vincennes, perpétrés en janvier 2015, allait ramener de douloureux souvenirs, mais peut-être aussi trouver une résonance particulière autant que douloureuse elle aussi, avec l'actualité. Hélas, les événements n'ont fait dès lors que le prouver.

Il y a les duels au soleil. Depuis 2013, notre pays, lui, connaît un dilemme au soleil. Partir et voir les djihadistes prospérer ? Rester au risque de s'embourber ? "Marianne", qui a accompagné en opération l'armée française dans le nord-est du Mali, pès le pour et le contre. Sommaire. La France doit-elle rester au Sahel ? Dans la fournaise malienne. L'incessante chasse aux islamistes.

Daech profite notamment du sentiment d'exclusion de la population sunnite, du désengagement américain et de milliers de partisans.

S'il maintient un haut niveau de vigilance face à la pandémie, mais aussi contre le terrorisme, le pays tout entier se concentre désormais sur la relance de l'activité économique et la préparation de la présidentielle et des législatives du 22 novembre 2020. Sommaire. Le Faso face au Covid, plus peur que de mal. La méthode Dabiré. Montrer les muscles ou tendre la main ? Elections, comme un parfum de campagne. Simon Compaoré, Président du Mouvement du peuple pour le progrès (MPP) : « Nous devons coûte que coûte organiser les élections ». Le CDP resserre les rangs.

En dépit de la présence militaire française depuis 2013, la violence dans la zone sahélienne ne connaît pas de répit. Elle a de multiples causes. La présence de groupes terroristes s’associe à la corruption des Etats et à leur incapacité à assurer la sécurité des populations. Une réponse essentiellement militaire risque plutôt d’accentuer les tensions et de renforcer la violence.

Elle a représenté des membres d’Action directe, le négationniste Roger Garaudy ou le chef du "gang des barbares". Et, dans le procès des attentats de janvier 2015 qui a repris le 2 décembre, Isabelle Coutant-Peyre défend Ali Riza Polat, le principal accusé. Fidèle à sa réputation, elle fait souvent preuve d’outrance, voire d’indécence. Même s’il lui arrive parfois de taper juste.

La vindicte d'une partie du monde musulman envers l'Hexagone est attisée par le président turc Recep Tayyip Erdogan, qui suit un agenda très personnel. Sommaire. Terrorisme. Pourquoi la France est devenue la cible no 1. Bernard Rougier : « Les djihadistes nous connaissent mieux que nous ne les connaissons ». Le catholicisme attaqué. Le général de Villiers « ne comprend pas » notre politique étrangère. Le reis n'aime pas les caricatures. La « mission » du régime d' Ankara.

On ne compte plus les groupes qui, au nom de causes diverses et variées, prétendent imposer leur loi en ayant recours au terrorisme intellectuel ou à des méthodes encore plus contestables.

Quel marigot intégriste a fréquenté Brahim Aissaoui, le tueur débarqué clandestinement de Tunisie pour semer l'horraeur dans la basilique Notre-Dame de Nice ?

Cinq militaires français sont morts entre le 28 décembre 2020 et le 2 janvier 2021 au Mali, victimes d'explosions. Pourquoi la France reste-t-elle là-bas ?