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Christophe Lannelongue, l’évincé du Grand-Est ne perd pas le nord

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pp.44-47
Jusqu’en avril 2020, en tant que directeur général de l’agence de santé Grand-Est, il était au coeur du dispositif de lutte contre le covid-19. Puis ses propos rappelant le maintien d’un projet de fermeture de lits à Nancy ont scellé son sort en quatre jours. Seul fusible administratif de l’épidémie, ce haut fonctionnaire en fin de carrière prépare désormais sa défense. Alors que se profile une enquête au sénat, il pointe certains manquements de l’état.