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"On a discrédité le repas pour nous pousser à manger seul et plus vite"

Numéros de page :
3 p. / p. 42-44
Prendre un repas, c'est se nourrir, maus aussi tisser des relations. Mais le capitalisme a commencé [à] discréditer la nourriture. Aujourd'hui, il nous faut retrouver le sens du repas, mais aussi répondre à un vaste défi démographique