Pour asseoir la quête d’indépendance de l’Inde et surtout cimenter l’unité nationale, le «Mahatma» a eu l’intelligence de se servir du cricket. Oui, vous avez bien lu, du cricket !

L’image du surf est si parfaite qu’on en vient à gommer inconsciemment tout ce qui pourrait la ternir, notamment les blessures nombreuses et parfois graves qui touchent ses pratiquants.

Dans les années 70, Joe Karam évoluait au poste d’arrière dans l’équipe de rugby néo-zélandaise. La référence mondiale ! Le principal combat de sa vie, il allait pourtant le livrer après sa retraite sportive : un combat contre une erreur judiciaire.

Depuis que la caféine a été enlevée de la liste des substances interdites pour être placée dans un programme dit de surveillance, toutes les disciplines sportives s’en donnent à coeur joie.

Dans la seconde partie de notre dossier consacré à la caféine, on tente de répondre à la question-clé de son utilisation dans le sport : pourquoi une telle mansuétude à son encontre de la part des autorités chargées de la lutte contre le dopage ?

Voici l’histoire extraordinaire de Robert Louis Stevenson, l’homme qui a écrit "L’Ile au trésor" et qui, dans la réalité, semble bien l’avoir trouvée !

Dwight Eisenhower (1890-1969) aurait tout donné pour être sportif professionnel. Au lieu de quoi il dut se contenter d’une profession de second choix: président des Etats-Unis d’Amérique.

En Grèce antique, on décrivait les barbares par l’expression « ils ne savent ni lire, ni nager !». Par un cruel retour du destin, il se trouve que, dans nos écoles, de plus en plus d’enfants répondent eux aussi à cette définition.

Le surf est une discipline traumatogène. Dans le jargon, cela signifie qu’on y recense un grand nombre de blessures. Sur le plan articulaire, les études menées sur les quelque 2,5 millions de surfeurs que comptent les Etats-Unis révèlent surtout des luxations de l’épaule (46% des cas) et du genou (28%). A cela, il faut ajouter les inévitables contusions nées des chocs contre sa planche ou parfois celle de ses voisins. On soulignera alors que les blessures graves qui nécessitent de soins chirurgicaux sont minoritaires (17% tout de même). Voilà pour la traumatologie du surf chez les amateurs.

La trajectoire de Lovemore Ndou est unique dans l’histoire du sport. Il était champion du monde de boxe en catégorie super-légers. Il est devenu avocat à Sydney. Il raconte sa vie dans un livre coup de poing. Evidemment !

Cinquante ans après sa sortie en salle, un long métrage suédois est réédité en DVD. Il s’intitule "Tom Foot" et c’est peut-être le plus bizarre de tous les films jamais tournés sur le sport.

La surconsommation actuelle d'antidouleurs dans le monde (et singulièrement dans le sport) ne devrait pas nous mener à trop dénigrer cette classe de médicaments et à nier les formidables bienfaits qu'ils nous ont procurés depuis des siècles.

Helmut Newton est considéré comme un maitre par ses pairs. Ce grand photographe savait tout faire : portraits, publicités, mode et photos de charme firent sa renommée. Il aurait pu se satisfaire de toute cette reconnaissance. Pourtant, non. Il rageait d'avoir échoué à réaliser son plus grand rêve : être champion de natation.

Le netball est une discipline proche du basket qui est très populaire en Australie. Et qui l’est plus encore depuis cette histoire qui oppose les vertueuses joueuses de l’équipe nationale à leur sulfureux sponsor.

L’espèce humaine n’est pas la seule à souffrir massivement du dos. Les chevaux aussi sont de la partie. Surtout les chevaux de manège. Ils sont des milliers à en avoir littéralement plein le dos des selles, des cavaliers et de leurs conditions de travail.

Dans le dernier numéro, nous faisions une description assez idyllique du judo. Or ce sport est aussi le théâtre d’un certain nombre de dérives, ce qui justifie qu’on lui consacre un deuxième volet avec les éléments à charge, cette fois. L'article se poursuit par le témoignage de la judokate française Amélie Grossmann-Etoh et à l'origine du roman "Sois champion et tais-toi".

En matière de violence imbécile, les rencontres internationales d’aujourd’hui n’ont rien à envier à celles d’autrefois. Il y a cent ans, un grand nombre de matches ne parvenaient jamais à leur terme tant le comportement des joueurs et du public était exécrable.