S'appuyant sur la méthode Maigret, Denis Tillinac mène l'enquête sur la vie et le travail du célèbre écrivain, renouant avec ses origines, épousant ses tics et sa manière d'être, partageant ses angoisses et ses obsessions.

Le soir même de son arrivée dans la petite ville calme de Port Ariel, Natalie John découvre la soeur de son amie d'enfance Lily assassinée. Alors que l'enquête se met en marche, d'autres crimes sont perpétrés et Natalie reçoit d'étranges appels téléphoniques... (Livres Hebdo)

Les années 1965-1969, ne sont pas seulement celles où l'auteur balance etnre la drague, le suicide, le monastère et le mariage : elles sont aussi celles où il publie ses quatre premiers livres... Il mène également un action militante et publie des chroniques dans "Combat"; il lutte pour les causes qu'il croit justes, en particulier pour les dissidents soviétiques.

L'auteur nous livre les secrets de la villa qu'elle restaure en Toscane : des fresques aux couleurs fanées sous la peinture des murs de la salle à manger, une vigne sous une jungle de ronces sauvages et même un scorpion capricieux sous son oreiller. (Livres-hebdo : livres du mois 6, 1998)

Ce recueil en deux parties présente, entre autres poèmes, des ballades, en hommage à Charles d'Orléans et François Villon, et en seconde partie des destinations lointaines de la Belgique, Lisbonne, Kharkov ou Montevideo. (Livres hebdo : livres du mois, 5, 2000)

Avant d'être connu pour "Le diable au corps" et "Le bal du comte d'Orgel", R. Radiguet fut un poète salué par André Salmon et Max Jacob. Dans ce recueil sont réunis tous les poèmes de Radiguet. (Livres hebdo : livres du mois, 9, 2001)

Près de cinquante années d'amitié ont uni l'auteur à son sujet et cet essai est, d'abord, celui d'une admiration. Y. Audouard retrace l'émouvant portrait d'un homme double : Antoine au bistrot, Blondin à sa table de travail. La vie de l'un vouée à l'excès et la démesure, nourrissant l'oeuvre de l'autre, réfugiée dans l'esprit d'enfance et la futilité désespérée.

Une femme contemporaine, avec ses rêves, sa sensibilité, ses vulnérabilités - Anne Carrière. Une aventure : au terme d'un parcours professionnel dans l'édition, elle monte sa propre maison avec le concours de son mari et de quelques amis. Une rencontre inopinée et capitale - Paulo Coelho. C'est un succès mondial. Davantage : un mythe. Débute alors l'histoire d'une amitié à trois l'auteur, son oeuvre, l'éditrice. Amitié complice qui va changer la vie d'Anne Carrière. Dans ce livre écrit avec fluidité, mais aussi avec passion, Anne Carrière peint la "chance infinie" qu'elle a d'aimer et d'éditer.

4ème de couv. : "Voici les Mémoires de Pol Vandromme. Ceux d'un anticonformiste né en Belgique mais qui a choisi la langue et la littérature françaises. Mêlé très tôt à l'aventure intellectuelle des années cinquante, il devint l'ami de Marcel Aymé, de Blondin, de Nimier, de Déon. Un père engagé dans la Résistance en Belgique, une carrière de journaliste et de directeur de journaux, une passion pour Tintin et le monde d'Hergé, un talent fabuleux de critique littéraire, marquent cette vie d'anarchiste, inclassable, détestant tous les embrigadements et militant pour la liberté de l'esprit et la beauté du style."

Souvenirs de voyages, constellés d'îles — Rhodes dans Printemps d'île, la Sicile dans La Coquille d'or, Korcula, Otok, Vrnik, Hvar (Lesina) dans Séjour dalmate, les îles du Cap-Vert, Fernando-de-Noronha, les Canaries et les Açores dans le Voyage atlantique qui donne son titre au recueil. Ici et là, Jünger s'intéresse aux formes et aux traces de vie, aussi ténues soient-elle en apparence : le sillage d'une barque, le vol d'un insecte, le plumage d'un oiseau : on reconnaît l'oiseau aux plumes qu'il porte. « Je suis un chevalier du soleil, de la forêt, des landes arides, du croissant lunaire. » Ici, on ne doit pas s'enquérir des fins — il y a une jouissance primordiale à montrer ce que l'on est (La Coquille d'or, p. 57). En vue des îles dalmates, Jünger s'émerveille de l'intuition d'Hölderlin qui, loin des parages où s'ébattent les dauphins, sut reconnaître dans sa plus secrète signification, l'impérissable beauté du monde des îles (Séjour dalmate, p. 98).

Ange Vincent relate dans ses carnets son adolescence dans le Weluwe, en Hollande, au sein de la famille Prins. Hans et Jan, les deux fils de Prins, sont fascinés par la même femme. Celle-ci ressemble étrangement au portrait de sainte Madeleine, attribué à un peintre anonyme du XVIe siècle flamand. Ce portrait va peu à peu dominer le récit par son ambiguité. (Livres Hebdo)