Gilles Pélisson arrive chez Accor en janvier 2006 pour redresser le cours chancelant de l'action du groupe hôtelier. Deux ans plus tard, la mission est loin d'être accomplie.

Le groupe hôtelier veut doubler sa présence au sud du Sahara. Dans cet objectif, il mise sur sa marque Ibis et les investisseurs locaux.

Premier actionnaire d'Accor et de Carrefour, le fonds d'investissement semble tout faire, depuis la rentrée, pour bousculer les deux géants. Signe de fragilité ?

Le 30 juin 2010, le groupe hôtelier se sépare de son pôle services. Cette scission historique soutient une grande ambition : devenir le numéro 3 mondial en développant la franchise. Mais l'opération n'est pas sans risques, surtout en Europe, où la bataille sera rude.

Le groupe français compte 106 hôtels en Afrique et prévoit d'en ouvrir 41 de plus d'ici à 2015. Changement d'orientation : il s'agira surtout d'établissements de milieu de gamme et de classe économique.

Directeur pour l'Afrique et le Moyen-Orient du groupe Accor, le Français est chargé d'y accroître le nombre d'établissements sous franchise. Comme il l'a déjà fait au Royaume-Uni.

Denis Hennequin a été évincé du groupe hôtelier par deux fonds d'investissement. Récit.

Après avoir pressuré Accor et usé trois PDG, Sébastien Bazin s'y colle. La réussite au bout ?

Pour faire face à l'arrivée de concurrents, le groupe français relance ses investissements en Côte d'Ivoire.

Depuis qu'il a pris les rênes du groupe français, le PDG d'AccorHotels n'a pas chômé. Son dernier fait d'armes, un contrat signé en Angola. Entretien avec un homme déterminé à rester premier.

Rencontre, en 2016, avec Vivek Badrinath, directeur général adjoint, marketing, digital, distribution et systèmes d'informations du groupe hôtelier français AccorHotels, qui revient sur l'innovation au sein de son groupe.