Affacturage
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Année de parution :
1993
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Importance matérielle :
126 p. : ill. : 18 cm
9782130453703
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Lyan, Marie null
Bulletin : <>Nouvel économiste 1921 - juin 2018
L'affacturage inversé, également appelé reverse factoring, se développe progressivement en France. Cette solution de financement mise en place à l'initiative du client à destination de ses fournisseurs permet de réaliser un échange gagnant-gagnant, tout en réduisant fortement les délais de paiement. Il s'agit de se faire régler par l'intermédiaire d'une société tiers, le factor, qui procède au règlement des factures de manière anticipée.
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Numéros de page :
pp.18, 20
Article
Auteurs
Bulletin : Nouvel économiste 2053
L'affacturage pourrait soulager les entreprises lors de la crise de Covid-19, en leur permettant de payer plus rapidement leurs factures aux fournisseurs. Le "reverse factoring", ou affacturage inversé, s'inscrit dans cette même tendance. Le paiement est délégué à un factor, que l'entreprise rembourse ensuite. Cette pratique, déjà favorisée par la loi Pacte de 2019 pour que les fournisseurs soient payés plus vite, est amenée à prendre de l'ampleur avec la crise afin de limiter les risques de défaillance des fournisseurs en raison de factures non payées.
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Numéros de page :
pp.16, 18, 20
Article
Auteurs
Willot, Didier null
Bulletin : Nouvel économiste 2071
Dans un contexte de ralentissement de l’activité économique et de concurrence des prêts garantis par l’Etat, la crise du Covid-19 a marqué un coup d’arrêt à l’activité des sociétés d’affacturage françaises. Avec la garantie de l’Etat, la plupart d’entre elles ne cessent depuis lors de prendre un certain nombre de dispositions visant à diversifier leur offre commerciale. Objectif prioritaire : assouplir les modalités d’accès des entreprises à leurs services afin d’élargir encore leur clientèle et de retrouver dès cette année les voies de la croissance. Détails. Pas de chiffres.
Article
Auteurs
Romain, Thomas null
Bulletin : Nouvel économiste 2093
Depuis la crise sanitaire de Covid-19 démarrée au printemps 2020, les entreprises françaises ont été moins nombreuses à faire appel à l’affacturage en raison de la chute de leur activité et de leur chiffre d’affaires. Mais la relance économique plus dynamique que prévu, en 2021, promet des beaux jours à cet outil de financement de trésorerie. Le montant des créances prises en charge par les sociétés d’affacturage a progresse de 175 milliards d’euros au cours du premier semestre 2021, dépassant même les niveaux d’avant crise. Détails. Données chiffrées.
Article
Auteurs
Calixte, Laurent null
Bulletin : Nouvel économiste 2112
Se lancer dans l’aventure de l’export présente souvent des risques pour les petites entreprises. Mais si elle est bien conçue, la prestation de l’affacturage permet de les limiter, grâce à trois piliers sécurisants : l’assurance-crédit, l’apport de financement en échange de factures, et l’assistance au recouvrement
de créances. Encore faut-il calculer au plus près ses besoins de financement, et être accompagné par des professionnels à la fois bien présents à l’international et rompus aux arcanes du commerce globalisé. Explications. Pas de chiffres.
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Auteurs
Perrier, Agathe null
Bulletin : Nouvel économiste 2123
En 2021, les sociétés d’affacturage ont pris en charge 364,9 milliards d’euros de créances, en hausse de 4 % par rapport à 2019. Le factoring séduit ainsi de plus en plus d’entreprises : il consiste à déléguer la gestion de ses créances à un tiers spécialisé en la matière. Une simplicité qui n’exclue pas une grande adaptabilité. Qu’il soit destiné aux petites structures notifié, confidentiel, à but déconsolidant ou encore inversé, l’affacturage s’adapte au profil de l’entreprise, qui peut choisir la solution répondant le mieux à ses besoins. Détails. Pas de chiffres.
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Auteurs
Morel, Christophe null
Bulletin : <>Nouvel économiste 1869 - mai 2017
En France, l'affacturage, qui combine financement, assurance-crédit et recouvrement de créance, séduit de plus en plus de chefs d'entreprise, qu'ils soient aux commandes d'une TPE, d'une PME ou d'une multinationale. Cette solution leur permet de financer des acquisitions ou des investissements matériels, et les place dans de bonnes conditions pour amorcer ou poursuive la croissance de leur entreprise. Explications. Avis d'experts. Pas de chiffres.
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Sébirot, Sophie null
Bulletin : <>Nouvel économiste 1893 - novembre 2017
Les opérations d'affacturage ont augmenté de +6,6% sur les 9 premiers mois de l'année 2017 selon l'Association française des sociétés financières (AFS). Xerfi Precepta prévoit même un bond de 10% du CA des factors en 2017, après une hausse de 9% en 2016 à 258 milliards d'euros. Des chiffres qui s'expliquent par les atouts de l'affacturage : trésorerie immédiate, meilleure gestion du poste client et diminution des risques d’impayés.
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Auteurs
André, Cyril null
Bulletin : <>Nouvel économiste 1903 - février 2018
Pour continuer à séduire les TPE et PME, qui représentent la majorité des entreprises en France, et faire face à la concurrence des fintech, les factors de l'affacturage n'hésitent plus à s'orienter vers la dématérialisation et la simplification des factures. Une formule qui offre une grande rapidité d'exécution. L'e-affacturage s'inscrit ainsi comme une nouvelle tendance du marché de l'affacturage qui a déjà connu une progression des opérations de 6,6 % sur les neuf premiers mois de 2017, en France.
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Thomas, Romain null
Bulletin : <>Nouvel économiste 1943 - novembre 2018
43 000 entreprises françaises ont eu recours à l'affacturage en 2017. Une technique financière qui permet aux entreprises de sécuriser leurs créances client. Elle est la première technique de financement court terme des entreprises, devant le découvert. Le principe : l’entreprise cède les créances client à un organisme financier spécialisé, appelé affacturage ou « factor ». Elle récupère ainsi immédiatement de la trésorerie et c'est à la société d'affacturage d'e s'assurer du recouvrement. Mais le risque pour l'entreprise qui a recours à cette méthode est de nuire à sa relation client.
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André, Cyril null
Bulletin : <>Nouvel économiste 1953 - février 2019
L'affacturage se porte très bien en France. Entre 2013 et 2018, il a affiché une croissance annuelle moyenne de 10 %. Avec 312 milliards d'euros de factures achetées en 2018 auprès de 43 000 entreprises, il a doublé son total par rapport à 2008. L'affacturage est devenue la première technique de financement à court terme des sociétés françaises, avant même le découvert bancaire. Les sociétés spécialisées ont su adapter leurs offres pour qu'elles correspondent au besoin d'un maximum de clients différents.