Il ne faut qu'une heure pour rejoindre Van, en Turquie, depuis la frontière avec l'Iran. Là, les Iranien.nes se retrouvent dans les discothèques de la ville pour danser et exulter, à la recherche d'une liberté perdue.

La Wet for Me, plus grande soirée lesbienne de France, fêtait ces jours-ci, à Paris, ses 15 ans passés à faire danser les filles la tête haute et les seins nus dans une ambiance safe. Le dancefloor, et plus encore.

Ce journaliste s’est rendu dans la première boîte de nuit du pays, inaugurée il y a quelques semaines. Une “véritable petite révolution” dans ce pays autrefois ultraconservateur.

De Paris à Lagos en passant par New York, "le Nouvel Obs" pousse la porte des boîtes de nuit mythiques. Cette semaine, une jeunesse assoiffée de liberté vient s'enivrer dans la cave de Saint-Germain-des-Prés, fief enfiévré de la môme Gréco et de Boris Vian.

De Paris à Lagos en passant par New York, "le Nouvel Obs" pousse la porte de boîtes de nuit mythiques. Cette semaine, le roi de l'afrobeat ouvre un night-club dans la capitale nigériane pour diffuser sa musique et défendre ses idées panafricaines sur fond de spiritualité.

De Paris à Lagos en passant par New York, "Le Nouvel Obs" pousse la porte de boites de nuit mythiques. Cette semaine, celle du premier club gay de la capitale, créé à l'orée des années 1970. S'y côtoient Andy Warhol, Roland Barthes et Yves Saint Laurent

Aujourd’hui fermées, ces discothèques continuent d’exister dans le souvenir de celles et ceux qui ont écrit leur légende. Comme Le Baron, un lieu branché où se retrouvaient chaque soir, non loin des Champs-Elysées, stars internationales et figures médiatiques et culturelles du Tout-Paris.

Oublié le fado ! Ce sont désormais l’électro et les sonorités africaines qui font vibrer la capitale portugaise. Reportage loin des quartiers touristiques, là où se déploie une scène alternative aussi farouchement inclusive que rebelle à la gentrification. —

Aujourd'hui fermées, ces discothèques continuent d'exister dans le souvenir de celles et ceux qui en ont écrit la légende. Jusqu'en 1986 à Argelès-sur-Mer, le Psychedelic fut le repaire agité des noctambules stylés du Roussillon : mods, punks ou skinheads venaient danser (et s'affronter) au rythme du rock, du ska ou de la new wave.