Aller au contenu principal

Boîtes de nuit, dancings, etc.

Article

Auteurs
Une ville où il fait bon faire la fête. C’est ainsi que Berlin est mis en scène dans bon nombre de séries, dont celles diffusées sur Netflix. Le magazine allemand "Der Spiegel" démonte ce cliché.
Numéros de page :
p.44

Article

Auteurs
Ils travaillent comme hôtes dans le quartier de Kabukicho, haut lieu de la vie nocturne à Tokyo. Et ils viennent de publier un recueil de tanka, une forme codifiée de poésie. Ils y dévoilent leur quotidien, leurs états d’âme, et les inquiétudes suscitées par l’épidémie de Covid-19, qui les prive de travail.
Numéros de page :
pp.50-53

Article

La vie nocturne des grandes villes n’est plus la même depuis la pandémie. Les confinements et les restrictions sanitaires qui perdurent mènent la vie dure aux bars, salles de concerts et clubs. Le grand quotidien de Lisbonne "Publico" a interrogé des philosophes, psychologues, fêtards, musiciens et noctambules, et dissèque dans un long texte de réflexion ce monde de la transgression, de l’échappatoire et de la création. Ce monde-là est-il voué à disparaître ? Et avec quelles conséquences sur notre santé mentale et sur la dynamique des villes ?
Numéros de page :
pp.26-34

Article

Auteurs
Cet été 2020, ces oiseaux de nuit n'iront ni en clubs ni dans les festivals. Entre résignation, réinvention et grosse déprime, des fêtard·es racontent leur vie sans paillettes. Avec, en toile de fond, une même question : que reste-t-il aujourd'hui de la teuf ?
Numéros de page :
pp.50-52

Article

Auteurs
Cet été, "M" fait le tour du monde des festivités annulées pour cause de pandémie. À deux pas de l’aéroport d’Orly et du marché de Rungis, le Metropolis est la plus grande discothèque de la région parisienne. Ce lieu emblématique de la nuit, ouvert en 1984, tente régulièrement de se réinventer, racontant en creux une histoire du clubbing en France. Et de la crise qu’il traverse depuis plusieurs années.
Numéros de page :
pp.38-41

Article

Auteurs
Depuis le début de la crise sanitaire, la nuit est calme à Paris. Les clubs ont fermé le 16 mars 2020 et certains ne s’en remettront pas. parmi eux, le VIP Room Paris, où pendant vingt-deux ans la fête orchestrée par le maître des lieux, Jean- Roch Pedri, a réuni stars et noceurs fortunés dans une débauche de champagne. Une vision bling-bling du monde de la nuit qui semble révolue.
Numéros de page :
pp.50-53

Article

Auteurs
Alors que tout l'écosystème de la nuit sort extrêmement fragilisé de l'année 2020, quel avenir pour lui ? Clubs classiques et nouveaux territoires festifs tentent de se diversifier et d'imaginer de nouvelles pratiques pour retrouver le sens de la fête.
Numéros de page :
pp.20-22

Article

Auteurs
Foin des restrictions et du Covid, place à la musique, aux amis et aux sorties arrosées. Bref, à la bamboche... Les Français sont pris d'une fièvre festive : double dose et double shot
Numéros de page :
pp.60-62

Article

Auteurs
Date parution pério
2017-12-07
Trente et un ans après sa fermeture, le mythique Studio 54, night-club new-yorkais, continue de nourrir la machine à fantasmes. Son fondateur, lan Schrager, lui consacre un beau-livre.
Numéros de page :
pp.124-125

Article

Auteurs
Bulletin : Rock & folk
Date parution pério
2018-10-01
L'histoire de trois clubs nés dans les sixties et où les jeunes rockers, enfin, trouvaient refuge.
Numéros de page :
pp.58-61

Article

Auteurs
Bulletin : Rock & folk
Date parution pério
2018-12-01
Les derniers feux de la fête. Palace, Bains douches et Rose bonbon, l'évocation de quelques hauts-lieux des années 80. Un ultime âge d'or ?
Numéros de page :
pp.66-68

Article

Date parution pério
2023-06-08
Raphaël Confiant ressuscite le Bal Blomet, club mythique de la musique antillaise autrefois appelé « Bal Nègre », où nous l'avons rencontré.
Numéros de page :
pp.96-98