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Brizé, Stéphane (1966-....)

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Trois ans après son prix d'interprétation pour "La Loi du marché", et pour la quatrième fois de sa carrière, Vincent Lindon retrouve Stéphane Brizé dans "En guerre" : le combat jusqu'au-boutiste d'un délégué syndical en butte à la rapacité des actionnaires de son entreprise. En compétition officielle.
Numéros de page :
pp.30-33

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Saison politique, saison amoureuse, le mois de mai est celui des lendemains qui (dé)chantent et des émotions fortes. La preuve avec deux films français coups de coeur, au Festival de Cannes et en salles. Il fait beau ? Ne sortez pas ! Sommaire. Stéphane Brizé, les beaux jours de la lutte. Christophe Honoré, le renouveau des amours.
Numéros de page :
pp.62-65

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Bulletin : L'Express
Après "La Loi du marché", Stéphane Brizé signe "En guerre", en compétition à Cannes. Une plongée in situ dans une lutte syndicale. Récit.
Numéros de page :
pp.118-119

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Des salariés en lutte pour ne pas être licenciés. Un film social nerveux avec un Vincent Lindon intense.
Numéros de page :
pp.78-79

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Le travail a toujours eu sa place dans les films de Stéphane Brizé, même dans les oeuvres les plus intimistes de ses débuts, quand "Le Bleu des villes", "Je ne suis pas là pour être aimé", "Entre adultes" et "Mademoiselle Chambon" interrogeaient la solitude des rêves existentiels, les relations de couple et celles, tortueuses, entre enfants et parents tout au long de la vie. En assumant un intérêt grandissant pour les sujets de société, Quelques heures de printemps marquait un tournant.
Numéros de page :
pp.6-12

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Bulletin : Marianne 1300
Dans « la Loi du marché », il était ce chômeur au bord de la rupture filmé au plus près par le réalisateur Stéphane Brizé. On prend les mêmes et on recommence (ou presque) : dans « Un autre monde », Vincent Lindon campe un cadre supérieur pressurisé par son actionnaire. Sa sinistre mission : mener à bien un plan de licenciements dans une entreprise qui engrange des bénéfices... Explosif.
Numéros de page :
pp.68-69

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Bulletin : Politis, 1693
Dans "Un autre monde", Stéphane Brizé met en scène un directeur d’usine sommé de licencier. Comment refuser ? Entretien croisé entre le cinéaste et le cadre Laurent Choain.
Numéros de page :
pp.18-20

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Bulletin : Première 526
"Un autre monde" vient conclure une trilogie entamée en 2015 avec "La Loi du marché". Le cinéma peut-il vraiment changer le monde ? Et comment marier le romanesque au chaos du réel ? Le cinéaste détaille ici sa manière de conjuguer fiction et réel dans des oeuvres sociales et frénétiques.
Numéros de page :
pp.46-49

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Les images de la colère des "gilets jaunes" rappellent celles du film "En guerre". Quelle est la place d'un artiste face à cette actualité ? Rencontre avec le cinéaste Propos recueillis par SOPHIE GRASSIN et
Numéros de page :
pp.46-47

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Date parution pério
2018-05-01
"En guerre" ne nous prend pas par surprise. Tant sur le plan thématique que sur celui de la mise en scène, nous renouons avec ce qui avait fait le prix de "La Loi du marché", il y a trois ans. La guerre dont le titre nous avertit est une guerre contemporaine, une guerre civile, une guerre qui ne veut pas dire son nom, mais qui cause des dommages irréversibles. Une guerre en corrélation avec que l'économiste Viviane Forester avait présenté dans un livre resté célèbre, "L'Horreur économique".
Numéros de page :
pp.116-123

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Date parution pério
2018-05-10
Après "La Loi du marché", Stéphane Brizé retrouve Vincent Lindon pour "En guerre", un film engagé qui raconte une grève dans une usine. "L'Obs" les a réunis. Interview politique.
Numéros de page :
pp.71-74

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Date parution pério
2018-12-01
Certains s'en réjouissent (pas tous), la politisation souvent spectaculaire qui s'était emparée de chaque secteur de la société française après mai 1968 subit un reflux qui peut sembler inexorable. Fenêtre ouverte sur le monde, le cinéma témoigne volontiers de cette propension à désormais regarder ailleurs ... Il reste pourtant quelques résistants qui, régulièrement, nous rappellent que l'homme ne vit pas que d'amour et d'eau fraîche et qu'il s'inscrit dans un rapport de classes qui survit autrement à la disparition progressive de l'identité ouvrière classique.
Numéros de page :
pp.4-122