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Camus, Albert (1913-1960)

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L'Arabe du futur revient, titre une partie de la presse nationale au moment où paraît le troisième tome de l'autobiographie en bande dessinée de Riad Sattouf, un franco-syrien aux cheveux blonds dont la famille a déménagé en Libye, puis en Syrie où il vécut ses douze premières années. Traduit en dix-sept langues, écoulé à environ un million d'exemplaires, il rejoint presque Meursault, contre-enquête, le livre de Kamel Daoud qui bénéficia d'un accueil enthousiaste en France.
Numéros de page :
pp.142-154

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Les relations entre des personnalités hors pair sont généralement très souvent contrastées, entachées d'ambiguïtés. Telles furent spécialement les relations entre ces deux fortes personnalités, fortes chacune de leurs fêlures et de leurs faiblesses : souci de représentation chez l'un (André Malraux), folie de vivre, généreuse et désespérée, chez l'autre (Albert Camus).
Numéros de page :
pp.120-130

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Bulletin : Le 1
Numéros de page :
8 p.

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Quatre-vingt ans après la publication de "L'Étranger", anniversaire qui sera fêté du 30 septembre au 2 octobre lors de l'Estival Albert Camus de Lourmarin, nous avons voulu questionner ce mot-notion à jamais associé à l'oeuvre de cet écrivain et à son roman emblématique paru en mai 1942.
Numéros de page :
pp.1-10

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La "NRF" est heureuse de publier un échange épistolaire entre le philosophe Jean Wahl et le jeune Albert Camus en 1942. L'échange se limite à un simple aller-retour, mais il a une forte valeur symbolique. La revue remercie Catherine Camus pour son aimable autorisation.
Numéros de page :
pp.118-124

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Auteurs
Dans un nouvel album bouleversant, l'auteur illustre "le Premier Homme", chef-d'oeuvre autobiographique d'Albert Camus. Rencontre avec un artiste qui garde l'Algérie au coeur.
Numéros de page :
pp.64-65

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Albert Camus et Maria Casarès se rencontrent en 1944, rompent, puis renouent en 1948. Belles, drôles et poignantes, leurs lettres témoignent d'une passion que seule la mort de l'écrivain, en 1960, interrompra.
Numéros de page :
pp.80-81

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L'amour... comme la beauté, notre beau (et parfois terrible) souci. Il y a ceux qui en parlent, d'autres qui le taisent. Céline, dans une lettre à l'une de ses maîtresses : "Vous m'aimez bien mais je vous fâche. Je ne parle pas assez d'amour. "Parlez-moi d'amour! ... " Je voudrais bien mais je ne peux pas." Et pourtant, amoureux, il le fut, Céline (rappelons-nous sa passion pour la dédicataire du "Voyage au bout de la nuit", la danseuse Elizabeth Craig).
Numéros de page :
pp.75-80

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"L'Etat de siège", pièce politique et tragique de Camus, devient dans la mise en scène d'Emmanuel Demarcy-Mota, le lieu d'une puissante et onirique réflexion sur la peur. Alors que la pièce célèbre ses soixante-dix ans et qu'elle est remontée à l'Espace Cardin, rencontre avec un metteur en scène, directeur du Théâtre de la Ville et du Festival d'Automne, hors-époque.
Numéros de page :
pp.80-85

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Comment vit-on les événements que l'on vit ? On en a un exemple étonnant dans ce numéro grâce à l'historien Christian Chevandier racontant comment Albert Camus a précisément vécu les journées d'août 44 de la libération de Paris, alors même qu'il dirigeait le journal "Combat". Journées inoubliables dont l'auteur de "La peste" avait gardé le souvenir du « plus pur désintéressement » tout en restant discret sur le sujet.
Numéros de page :
pp.117-127

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Soixante ans après la mort d'Albert Camus, sa pensée reste d'actualité, notamment sur les plans éthique, politique et écologique.
Numéros de page :
pp.50-55

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Bulletin : L'Histoire 509
Depuis la Chine, la troisième vague gagne le monde entier à la fin du XIXe siècle. Cette pandémie, dans laquelle nous vivons encore, ressuscite une peur ancienne, qui imprègne les imaginaires. L’humanité, pourtant, n’est plus aussi désarmée face au bacille, identifié en 1894 : sérums, vaccins puis antibiotiques permettent enfin de lutter. Reste que la peste n’a pas fini d’inquiéter. Sommaire. Des bacilles, des empires et des médecins. Bataille au sommet. Hongkong, 1894. Yersin sans légende. Comment Camus a écrit « La Peste ». 2023, faut-il encore avoir peur de la peste ?
Numéros de page :
pp.94-114