Venu au 7e art par la photographie, Stanley Kubrick a également placé la musique au coeur de sa construction cinématographique et lui a conféré une véritable fonction rhétorique.

Il y a ceux qui ont contribué à la légende musicale du cinéma noir dans les années 1960 et 1970, les Quincy Jones, J.J. Johnson, Bobby Womack, Roy Ayers, entrés dans la cour des grands grâce à leurs mélodies inoubliables orchestrées avec maestria : Lalo Schifrin, Henry Mancini, David Shire... Et ceux qui contribuent à faire vivre ces musiques sur scène, tel Fred Pallem et son Sacre du Tympan, ou à les rééditer avec amour (Stéphane Lerouge et sa collection "Ecoutez le Cinéma !"). Ils peuplent ce dossier qui rend hommage au swing du jazz et au groove de la soul et du funk. Sommaire. Roy Ayers.

Dans les années 1900, il y avait toujours un pianiste pour accompagner les images muettes : cette complicité ne sera jamais oubliée. Les affinités du cinéma et de l'opéra, qui raconte une histoire en musique, sont toutes naturelles. Mais les plus grands compositeurs ont également donné des chefs-d'oeuvre au Septième art... Lequel s'est souvent inspiré des musiciens.

Le cinéaste David Lynch sort son album. L'occasion pour ″Transfuge″, de faire l'inventaire des unions heureuses et malheureuses entre pop et ciné.

Voyage dans le temps et dans l'espace, destination vague et poétique : l'Orient. "Positif" prend le large en trois escales musicales : l'Egypte et l'Inde, deux continent musicaux nostalgique, l'autre explosif.