Défait depuis trop longtemps aux élections nationales, le PS envisage différentes stratégies d'alliance de la gauche. Mais les sensibilités en interne sont nombreuses, et les éventuels partenaires sur leurs gardes.

Les dessous de l'étrange jeu qui oppose les deux ténors du PS.

Elle dit tout haut ce que Hollande pense tout bas.

Incorrigibles. A Coups de chantage et de surenchères, ils empoisonnent la vie de Hollande.

Les alliés naturels du Parti socialiste ont refusé la main tendue de Martine Aubry en vue d'un rassemblement. Une crise idéologique avec les élections régionales de 2010 en ligne de mire

L'ex-secrétaire d'Etat a rejoint Jean-Louis Borloo. Selon elle, l'UDI est, pour l'UMP, le seul rempart contre le FN.

Aux deux extrémités de l'Hexagone, la société civile monte la voix contre les Le Pen. Les prémices d'un front républicain d'entre-deux tours ? Pourquoi pas.

Faire la fusion pour éviter la fission. Dans les travées des assemblées, dans les allées du pouvoir économique, dans beaucoup de salles de rédaction aussi, l'idée d'une union nationale entre les partis "de gouvernement" progresse.

L'eurodéputé, ragaillardi par les régionales, cherche à obtenir le soutien des communistes pour être candidat en 2012. Levée de boucliers...et de faucilles.

Comment comprendre les malentendus et les débats qui ont entouré l'alliance électorale entre le parti socialiste et les écologistes ? Ce qui n'a souvent été interprété que comme des questions de politique politicienne doit en réalité être compris comme le choc de deux cultures politiques, que cet accord a malgré tout contribué à faire converger, tout en mettant en évidence leurs points de friction.

Les élections internes de l'Udi se sont achevées le 12 novembre 2014 dans l'indifférence générale. Si la succession de Jean-Louis Borloo a fait l'objet d'une campagne féroce, avec des coups en dessous de la ceinture, elle est surtout apparue comme une rivalité personnelle entre Hervé Morin et Jean-Christophe Lagarde, sans grands enjeux politiques. Pour autant, les résultats ne seront pas sans conséquences. Pas tant pour l'Udi que pour le reste du paysage politique.

Parce qu'ils escomptaient mieux encore, les électeurs de M. Jean-Luc Mélenchon ont été déçus par le score de leur candidat (11,1%). Obtenir près de quatre millions de suffrages n'est pourtant pas un mauvais résultat pour le baptême du feu présidentiel d'une galaxie de gauche longtemps éparpillée. Déjà, le Front de gauche espère influer sur les décisions financières du prochain gouvernement.