Ce recueil de lettres écrites par des résistants (J.-P. Timbaud, G. Môquet, G. Péri, D. Casanova, M. Manouchian, etc) avant leur exécution, offre un témoignage sur la Seconde Guerre mondiale et retrace les grandes étapes de cette période sombre de l'histoire contemporaine.

Les auteurs font un bilan sur le nombre de fusillés pendant l'Occupation allemande. Ils présentent les raisons des approximations successives mais aussi l'histoire de l'utilisation politique de ces chiffres en montrant en quoi les fusillés constituent un enjeu de mémoire. Ils étudient aussi la catégorie des condamnés à mort, les procédures judiciares, les conditions de détention, etc.

Ce roman fait revivre une période troublée de l'Histoire de France, le massacre de la Saint-Barthélemy, et éclaire le rôle qu'y a joué Catherine de Médicis. Il met en lumière les ruses, les intrigues ainsi que sa soumission à l'astrologue Nostradamus.

A l'occasion du 30e anniversaire de l'abolition de la peine de mort, cet ouvrage invite à redécouvrir son histoire ainsi que les destins tragiques de condamnés. Il propose d'abord une approche historique de la peine capitale avec la fin de la torture suite à la Révolution française. Puis il relate les crimes et derniers jours de trente hommes et femmes, notamment Emile Buisson, Ravachol ou Landru.

Une lettre écrite par une femme à son compagnon, incarcéré aux Etats-Unis dans le couloir de la mort pour un triple homicide qu'il a toujours nié avoir commis. Elle détaille leur combat pour la révision du procès et l'obtention de tests ADN.

Témoignage de deux opposants à la peine de mort, partis au Texas afin de défendre Rickey Lynn Lews. Touchés par son histoire et convaincus de son innocence, ils feront tout pour le libérer jusqu'à l'annonce de l'exécution à laquelle ils ont assisté.

Deux sociologues américains font parler les détenus du quartier des condamnés à mort de la prison d'Ellis, au Texas, l'un des lieux d'incarcération les plus durs des Etats-Unis. A travers les interviews de 26 d'entre eux, le lecteur découvre le quotidien de leur isolement, 23 heures sur 24, dans une cellule de 4,5 m2, privée de la lumière du jour.