Selon une enquête exclusive de l'Ifop, près de 1 Français sur 10 s'adonne à cette danse née dans le Grand Ouest américain. Entre nostalgie de l'enfance et quête d'une convivialité disparue.

Infatigable, cette légende japonaise de la country fait le pont entre son pays et l’Amérique profonde depuis plus de soixante ans. Une carrière lancée sur les bases américaines de l’archipel.

Le genre musical, jusqu’ici aussi populaire que consensuel, n’est pas épargné par la fracture idéologique qui divise les Etats-Unis. Cet été, deux chansons aux références trumpistes et complotistes ont créé la polémique, tandis que l’étoile montante Maren Morris prenait ses distances avec un milieu jugé « toxique » et masculiniste.

Charley Crockett est un artiste étiqueté country qui revendique un répertoire bien plongé dans la soul et le blues, tout en enchaînant depuis 2015 les albums de qualité. À l'occasion d'un passage au Café de la Danse, il nous retrace un parcours de galérien, qui passe par les trottoirs de Dallas, de La Nouvelle-Orléans et de New York, sans oublier ceux de Paris.

"The Band", deuxième album du groupe américano-canadien, ressort en grande pompe. Un demi-siècle après, ce disque enregistré en autarcie demeure un classique rustique.

Etre un Jayhawks, c'est beaucoup. Etre les Jayhawks à soi tout seul, comme Gary Louris depuis vingt-cinq ans, c'est presque trop. Sur son disque solo "Jump For Joy" il souffle un peu et soulève au passage une question historique : et si l'americana n'avait (presque) rien à voir avec la country, et (presque) tout avec la pop anglaise ?

La country, musique de pécores ? Certainement pas. Le genre, encore méprisé dans l'Hexagone, est à réapprécier de toute urgence.

L'Amérique n'est pas foutue. Un cow-boy masqué né en Afrique du Sud chante d'une voix de baryton tout le rêve américain qui renaît.

Texan au cul poilu, pieds nus dans les santiags, faisant le tour du cadran whisky-bière-coke dans les seventies, il était en réalité un folkeux new-yorkais réinventé en cow-boy auto-stoppeur, bourlingueur et fou furieux. Meilleur pote de Willie, Townes, Guy et les autres, JJW était-il le plus sauvage d'entre tous ou le plus rigolo ?

Il y a vingt ans disparaissait un monument de la musique américaine. Surnommé l'Outlaw, ce n'est rien de dire qu'il a largement contribué à dépoussiérer et révolutionner une country sombrant alors dans la caricature.

Dans son nouvel album, le crooner américain hors du temps ouvre encore plus son univers country et bluegrass à des sonorités du monde entier, avec l'élégance qui le caractérise.