Aller au contenu principal

Davies, Terence (1945-2023)

Article

couverture du document
Titres recensés : "Jean Eustache", rétrospective à la cinémathèque française du 3 au 27 mai 2017. "Django" d'Etienne Comar. "Emily Dickinson. "A Quiet Passion"" de Terence Davies. "I am not your negro" de Raoul Peck. "Après la tempête" de Hirokazu Kore-eda. "Mister Universo" de Tizza Covi et Rainer Frimmel. "Glory" de Kristina Grozeva et Petar Valchanov. "Le Christ aveugle" de Christopher Murray.
Numéros de page :
pp.103-110

Article

couverture du document
Auteurs
Le cinéaste britannique Terence Davies dresse dans "Emily Dickinson : A Quiet Passion" (voir critique p.69 ), le portrait passionnant d'une poétesse maudite, dont il se sent proche à plus d'un titre. Entretien.
Numéros de page :
p.16

Article

couverture du document
Auteurs
C'est un défi, brillamment relevé par Terence Davies dans "Emily Dickinson : A quiet Passion". Filmer l'âme de la grande poétesse Emily Dickinson.
Numéros de page :
p.69

Article

couverture du document
La vie de la poétesse américaine Emily Dickinson passée au crible de la caméra du réaliste britannique Terence Davies donne à voir l'intériorité d'une femme prisonnière qui cherche à s'évader.
Numéros de page :
p.51

Article

couverture du document
Auteurs
Date parution pério
2024-03-02
Enfant miséreux de Liverpool, homosexuel tourmenté dans une société puritaine, le si discret Terence Davies laisse une oeuvre sensible, empreinte de nostalgie. Portrait d'un cinéaste à vif.
Numéros de page :
pp.30-31

Article

couverture du document
Auteurs
Date parution pério
2024-03-01
Si l'ultime splendeur de Terence Davies a quelque chose de testamentaire, c'est que son cinéma a toujours assumé cette dimension terminale, volontiers nostalgique et macabre.
Numéros de page :
pp.48-53

Article

couverture du document
Date parution pério
2024-03-01
Après "Emily Dickinson, A Quiet Passion" (2016), l'enfant de Liverpool revient sur le terrain du portrait intime de poète, dans ce qui sera désormais son ultime réalisation, « la meilleure chose que j'aie faite », confessait Terence Davies dans un de ses derniers entretiens. Mais dès les origines, la poésie infuse l'oeuvre de celui qui avouait s'être inspiré depuis toujours des vers de T. S. Eliot dans "Four Quartets". Avec les années, le style de Davies s'est épuré, pour atteindre une forme de classicisme traversé d'éclats formalistes.
Numéros de page :
pp.14-19