Les réseaux sociaux et la dépendance au smartphone mettent à mal la santé mentale des adolescents. Et les contre-mesures se heurtent au cynisme des plateformes. L'article se conclut par l'interview de Séverine Erhel qui déclare « Comparer drogues et réseaux sociaux pose un problème ».

Les directs et les duels rapportent beaucoup d'argent à quelques créateurs de contenus avisés. Mais le gagnant du jeu reste le géant chinois.

C'était comment quand les smartphones ne servaient qu'à téléphoner ? Quand le Web n'avait pas encore absorbé le suc de notre attention et le sel de notre existence ? Notre journaliste s'y est essayé, non sans peine.

Objets connectés et applications surveillent tous les aspects de leur vie. De plus en plus nombreux, les adeptes du quantified self comptent sur eux pour gagner en performance et en bien-être. Mais à quel prix...

Sur Twitter, les informations fausses se propagent plus vite et plus largement que les vraies. Notre cerveau est happé par leur caractère étonnant et ne prend plus le temps de réfléchir.

Hyperconnectés en permanence, nous avons du mal à supporter les moments d'ennui. Comment éviter de fuir sans cesse dans des distractions compulsives ? Pour y répondre, les psychologues dissèquent cette émotion si particulière. Et lui trouvent d'étonnants liens avec l'attention...

Connaissez-vous ces applis : BreakFree, QualityTme, Flipd, Moment... ? Alors vous êtes peut-être dépendant à votre smartphone. Ces applications vous aident en effet à maîtriser votre temps passé sur les réseaux sociaux, Internet... voire bloquent votre mobile après un certain temps d'utilisation. Car c'est bien d'une addiction - comportementale - qu'il s'agit, comme il en existe d'autres, à la malbouffe, au porno, aux jeux d'argent... Sommaire. Les nouvelles addictions. Peut-on être accro à la malbouffe ? Il existe une vraie dépendance au smartphone. Test : êtes-vous accro à votre smartphone ?

Par une simple prise de sang, votre médecin sera capable d'estimer, dans quelque temps, le risque que vous soyez atteint un jour d'une pathologie mentale : schizophrénie, addiction, Alzheimer, dépression, trouble bipolaire... Ce n'est pas de la science-fiction, mais le pari que les scientifiques, chercheurs et médecins tentent de relever depuis quelques années. Car ils sont en train de mieux comprendre les pathologies neurologiques et psychiatriques, ce qui les amène à les redéfinir et à les classer différemment.