Despotisme -- Birmanie
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Bulletin : Le Point 1861 - mai 2008
Deux millions de sinistrés et un pays dévasté ne suffisent pas à Than Shwe, général dictateur, pour ouvrir largement son pays à l'aide internationale. Il maintient sa poigne de fer sur la Birmanie.
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Numéros de page :
3 p. / p. 64-66
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Bulletin : Courrier international 880 - septembre 2007
La participation des religieux aux manifestations marque un tournant. Et la junte s'en inquiète.
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Numéros de page :
1 p. / p. 25
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Bulletin : Courrier international 883 - octobre 2007
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Bulletin : Courrier international 917 - mai 2008
Trois semaines après le passage du cyclone, la junte militaire a fini par accepter que quelques équipes humanitaires étrangères accèdent aux zones sinistrées. Mais les besoins restent considérables.
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Numéros de page :
1 p. / p. 26
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Bulletin : Courrier international 915 - mai 2008
Deux millions de personnes sont touchées, déjà près de 50 000 morts : le bilan du passage du cyclone Nargis ne cesse de s'alourdir.
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Numéros de page :
2 p. / p. 30-31
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Bulletin : Courrier international 966 - mai 2009
Après le désastre, la junte a tenté de masquer son inaction par des opérations de propagande. Mais la vie de tous les jours est toujours aussi difficile pour la population
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Bulletin : Courrier international 1046 - novembre 2010
L'opposante Aung San Suu Kyi a recouvré la liberté le 13 novembre 2010. Un événement qui montre, selon le webzine ″The Diplomat″, que la dictature militaire se sent confortée par les résultats des élections du 7 novembre.
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Numéros de page :
1 p. / p. 36
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Bulletin : Le Nouvel observateur 2217 - mai 2007
Soutenus par leurs alliés russes, chinois et nord-coréens, les généraux birmans se sentent plus forts que jamais. Et les responsables de l'opposition démocratique, surveillés, isolés ou emprisonnés, sont réduits à l'impuissance.
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Numéros de page :
4 p. / p. 70-73
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Bulletin : Le Monde diplomatique 615 - juin 2005
Après le limogeage du premier ministre Khin Nyunt, en octobre 2004, les chefs de la junte ont changé, mais la dictature reste. Arrêtée il y a deux ans, la dirigeante de l'opposition, Mme AungSan Suu Kyi, demeure en résidence surveillée.