Les élections législatives allemandes de 2021 marquent une rupture de grande ampleur. Le recul des chrétiens-démocrates est historique et la coalition qui s’est mise en place, inédite. Dans quelle mesure les compromis entre les trois partis qui la composent seront-ils durables ? Du fait d’une divergence de vues sur l’Europe, dans quelle mesure la relation franco-allemande sera-t-elle affectée ?

Deux films à l’affiche cette semaine, "Les Promesses", de Thomas Kruithof, et "Municipale", de Thomas Paulot, offrent des représentations stimulantes de la politique sur grand écran.

Le 23 mai 2019, l’Inde a conclu sa dix-septième élection générale. Il s’agissait du plus grand exercice électoral démocratique de l’histoire du pays et du monde.

Bien que la composition du prochain gouvernement de l’Allemagne ne soit pas encore connue, on peut déjà tirer quelques leçons des résultats des élections législatives. La plus importante est que les partis traditionnels peuvent réussir sans flatter les populistes ni courir après les mouvements d’extrême droite.

A l’approche des élections fédérales, le 26 septembre 2021, les cartes sont totalement rebattues : contre toute attente, après des mois de campagne infructueuse, l’actuel vice-chancelier et le chef du Parti socialdémocrate est désormais pressenti pour succéder à Angela Merkel, explique, de Vienne, "Der Standard".

En organisant des élections fédérales anticipées le 20 septembre, Justin Trudeau suit les traces de son père, Premier ministre à trois repris.

Tout a été fait pour que le parti de Poutine remporte à nouveau les législatives, le 19 septembre. Mais pour cet économiste russe, la nouvelle Douma n’aura d’autre choix que de transformer un système inadapté au monde moderne.

Aucun vainqueur net n’est sorti des urnes le 26 septembre 2021. Hormis, estime ce quotidien centriste, le désir de consensus et de continuité.

La crise qui a éclaté entre le président argentin et sa vice-présidente, au lendemain de primaires, augure mal du succès de la coalition au pouvoir aux élections législatives partielles du 14 novembre 2021.

De droite ou de gauche, ils ont un objectif commun au scrutin du 13 mars 2022 : en finir avec les "places réservées" de sénateurs et de députés dont bénéficient les élus issus de la guérilla marxiste, en vertu de l’accord de paix de 2016.

A la veille du second tour des législatives, l'historien du politique Nicolas Roussellier analyse les enjeux d'une majorité qui s'annonce étriquée pour Emmanuel Macron. Et ses conséquences sur le travail parlementaire.

Quinze ans après une première tentative pour le PS, la conseillère en communication de Jean-Luc Mélenchon a été élue députée dès le premier tour. A l'Assemblée, elle promet d'être l'une des voix fortes de l'opposition